1. Histoire d'une petite nymphe


    Datte: 16/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme Inceste / Tabou

    ... qu’on me demande. – Tu veux dire : tout ce qu’on te demande ? – Oui. – Des câlins, ça t’arrive ? – Oui. – Des gros câlins ? – De préférence. – Des câlins coquins, ça t’arrive ? – Je ne connais pas de câlins qui ne soient pas coquins. Il a souri. Puis il s’est resservi. Ses mains tremblaient. Je l’ai suivi des yeux jusqu’à ce que son dos retombe dans le dossier du canapé et que son visage vienne encore plus près du mien. – Dans ce cas, défais le bouton de ton short et descends ta braguette. J’ai obéi tout de suite. Le geste prit trois secondes. Sous mon short, je portais une culotte blanche, taille basse. Le vieux la regarda pendant un bon moment, sans bouger, sans rien dire. Puis il revint à mon visage. – Tu es souvent ivre ? dit-il. – De temps en temps. – Et tu fais ce qu’on te demande à chaque fois ? – Oui, je crois. Il s’est de nouveau tourné vers ma culotte, puis son regard a glissé le long de mes cuisses, lentement, jusqu’à mes genoux, pour remonter ensuite vers mes seins qui pointaient sous mon t-shirt. Puis mes yeux qui le fixaient. – Raconte-moi la dernière fois que tu as fait ce qu’on te demandait. – Avant, servez-moi un autre verre, s’il vous plait. Je lui ai répondu pendant qu’il obtempérait : – C’était il y a deux semaines, chez Luc. Il m’a demandé d’aller dans la chambre avec un ami à lui. – Et tu l’as fait ? dit le vieux en me tendant mon verre. – Oui. – Tu veux dire que tu as couché avec son ami, pendant que Luc était dans la pièce à côté ? – C’est ça. – ...
    ... Toute nue ? – Non, j’ai gardé le haut. Une grande pendule poussait des « clong-clong » dans la pièce. Je voyais son cadran d’où j’étais. Il était minuit passé. Sur la gauche, sur un gros buffet, des photos de familles étaient alignées, mais je n’y voyais pas assez pour identifier qui que ce soit. Ni le vieux, ni Luc. À l’étage, il sembla que la vieille se tourna dans son lit. Puis le vieux s’est levé du canapé. Il a défait sa ceinture en disant : – Enlève le bas, petite salope. J’ai bu mon verre cul sec et baissé mon short et ma culotte en même temps. Je les ai balancés sur le sol, tandis que le vieux ôtait son pantalon et son caleçon en veillant à ne pas perdre l’équilibre. Ensuite, j’ai ouvert les cuisses au bord du canapé. Ce n’était pas un mensonge : j’avais couché avec un ami de Luc deux semaines auparavant. Ce n’était pas le premier. Nous avions aussi fait des partouzes avec des couples d’amis et passé quelques heures dans des saunas où Luc m’avait regardée me faire prendre par des dizaines d’hommes. En quatre mois, j’avais aussi couché avec d’autres personnes sans qu’il le sache. Un ex, deux inconnus qui m’avaient payé des verres en pleine journée, et une amie de la fac. Je n’attendais pas toujours d’être ivre pour faire ce qu’on me demandait. J’aimais ça. C’est tout. Il n’y a rien d’humiliant à faire ce que l’on aime. J’en connais qui aiment le foot, d’autres le cinéma ou l’équitation. La natation, la littérature, la musculation ou la peinture. Moi, c’est le sexe. J’ai ...