Floryda 2113 AD
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
inconnu,
gros(ses),
fépilée,
Collègues / Travail
Masturbation
rasage,
Oral
légumes,
fsodo,
sf,
... l’entrevue avec Conrad : elle s’offrirait au petit gros de la banque, sans complexes. Betty, d’apparence douce et sereine, savait aussi se montrer dans des circonstances particulières telle une mante religieuse. La fin justifie les moyens… Athlan reprit ses activités et Betty sortit du labo en direction de sa chambre pour remplacer sa combinaison en lambeaux. * * * * * Le complexe agricole de Floryda était constitué des divers laboratoires de recherche, d’un centre des communications, d’une infirmerie avec les derniers équipements, et des chambres des divers techniciens s’affairant dans la serre géante. On passait d’un secteur à un autre du complexe grâce à une puce RFID implémentée sous la peau, puce d’identification de la personne et de ses diverses autorisations requises pour entrer dans des secteurs confidentiels. Les nouvelles autorisations mises à jour par le centre informatique se faisaient en temps réel grâce à un programme, sous la surveillance de Conrad, informaticien taciturne qui recevait ses ordres du Haut Commandement. Tout semblait aseptisé dans cette partie du complexe, et seul le bruit feutré de la climatisation rompait le silence mortuaire des alcôves. Cela faisait plusieurs années que Betty travaillait sur Floryda et, une fois par an, elle recevait comme tous les techniciens sa grille d’évaluation de compétence ainsi que les crédits alloués sur son compte. Elle avait fait une demande de crédits supplémentaires pour l’acquisition d’une bulle autonome sur ...
... une autre planète, un investissement pour ses vieux jours. Betty, âgée de trente-cinq ans, pouvait prétendre à une retraite dans une dizaine d’années standard galactiques, soit, en mesure terrestre, dix-huit années encore. Conrad faisait office de banquier et de régisseur intendant sur Floryda. Toutes les demandes d’approvisionnements passaient par lui, ainsi que les crédits à la consommation. Conrad, qui s’occupait des comptes de Betty, lui avait laissé un mail la veille : il souhaitait la rencontrer au sujet de son prêt. Betty n’aimait pas les convocations de Conrad. Comme toutes les femmes sur Floryda, Betty importait des produits de beauté à prix d’or. Il lui fallait absolument ce prêt, il aurait été dommage de renoncer à une maison spacieuse, sur un endroit fraîchement colonisé. Douchée, parfumée, maquillée, Betty choisit ses vêtements avec goût, elle allait rendre Conrad fou. Elle enfila sa robe blanche sur un string blanc et chaussa ses talons aiguilles. La robe lui arrivait au ras des fesses, le blanc faisait ressortir son bronzage hâlé. Elle ramassa son sac blanc et monta dans la navette ; sa robe lui découvrit carrément le bas du ventre, mais le pilote robot ne prêta guère attention à la vue de son string. La climatisation du centre fit pointer ses seins pointèrent et l’on put voir ses tétons tendre sa robe, bien trop courte pour une femme honnête. Elle s’approcha du sas, et le martèlement de ses talons sur le carrelage fit voler en éclats le silence du sanctuaire du ...