Floryda 2113 AD
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
inconnu,
gros(ses),
fépilée,
Collègues / Travail
Masturbation
rasage,
Oral
légumes,
fsodo,
sf,
... entre les cuisses ouvertes et se mit à la sucer, tout en lui caressant les seins. La langue sillonnait la fente et triturait le clitoris encore au repos. Il gonfla sous la langue câline, Betty ferma les yeux, c’était autre chose qu’avec Conrad. Sur Floryda, chaque homme ou femme avait été sélectionné sur le critère de son statut, outre ses compétences techniques, bien sûr ; il ne fallait pas avoir d’attache. Betty avait une réputation sulfureuse, une mangeuse d’hommes, disait-on dans les colonies éloignées où la belle avait déjà exercé ses talents de technicienne. La langue trouva l’entrée du vagin, Betty était dans une position identique à celle de ses visites chez son robot-gynéco, cette position la rendait encore plus désirable. Le chef de rayon l’embrassa sur les seins pendant qu’il cherchait le bas de la vulve avec sa verge, le gland autoguidé trouva sa proie et entra. Sa verge longue et veinée s’engouffra telle une rame de métro, de toute sa longueur, et elle arracha à Betty un cri de bonheur. À grands coups de reins, il la défonçait, ouverte comme un fruit mûr. Il la sentait s’abandonner à ses va-et-vient, il allait lui donner du bonheur. Tout en lui pilonnant le ventre, il lui malaxait le clitoris. Il fit durer le plaisir. Le gland de sa verge enfla et il lâcha deux jets de sperme chaud dans le ventre de Betty qui, la vulve contractée, jouit avec un râle. Le chef de rayon se retira du vagin, mais le souvenir d’avoir aperçu l’anus de sa cliente lui donna l’idée d’en ...
... profiter encore jusqu’au bout. Il lui souleva les jambes en un grand écart et la sodomisa. Il s’attendait à plus de résistance de ce côté, mais non, les dix-sept centimètres de sa verge trouèrent les profondeurs des entrailles de Betty. — Tiens, se dit-il, une habituée de l’amour rectal. Ce n’était pas pour lui déplaire, au contraire, il força son allure, arrachant des cris à Betty qui avait dû se rattraper aux bords supérieurs du rayon. Elle sentit couler dans ses reins la semence, pulsée par la contraction des bourses du chef de rayon, et jouit d’un seul coup en exaltant un « Je jouis ! ». Les bras en croix et les pieds plantés dans les légumes, Betty sentait son ventre onduler sous le plaisir qui sortait de son ventre. Une contraction de sa vulve éjecta la verge de son vagin. Le chef de rayon pensa qu’une si belle fille qui jouissait à grands cris devait avoir encore des ressources dans les entrailles, aussi s’empara-t-il d’une belle courgette. Dans la position dans laquelle Betty se trouvait, elle offrait au chef de rayon un panoramique sur sa vulve et son anus. Il ne manqua pas de se délecter de ce spectacle : les grandes lèvres de la vulve de Betty pendaient et l’entrée de son vagin dilaté laissait goutter du sperme, alors qu’elle était secouée de spasmes orgasmiques. La main écarta un peu plus les grandes lèvres : le clitoris, telle une protubérance, n’avait pas désenflé. Il visualisa l’entrée de son ventre pour y plonger la courgette. La production de légumes venait de ...