1. Julie 4


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... salon de coiffure, il y avait environ 4 femmes qui avaient l’âge de ma mère et sans doute plus, des bourgeoises bien mises autour des quelles s’affairaient des coiffeuses aux mains expertes sur un fond musical discret. Je m’étais attendue à une boutique bas de gamme, pas à un salon pour mémères. -Sophie, Sophie. La cliente de Monsieur L vient d’arriver. - Tout de suite, madame. Je vis alors arriver une femme d’environ la trentaine qui me guida dans un pièce attenante. - Installez-vous, me dit-elle, en regardant son cahier. - Et bien, nous en avons pour une petite heure. Déshabillez-vous. Ne gardez que haut et la culotte. Je vais commencer par les jambes. J’ôtai, mon pull et mon pantalon et tirai au maximum sur mon T shirt pour cacher que je m’avais pas de sous-vêtements. - N’ayez pas peur, ici nous sommes entre femmes. C’est mon métier, et je peux vous assurer que j’en ai vu d’autres. Mais si vous le souhaitez je peux vous poser un masque sur les yeux. Vous vous sentirez moins gênée, si c’est ça qui vous préoccupe. C’est comme cela que bande après bande, je me suis laissée débarrasser de toutes mes toisons. Me conformant à toutes les directives de la voix de cette femme douce mais ferme. Je me sentais comme une poupée dans les mains de cette femme. Le masque sur les yeux me rendait sensible à chaque contact, à chaque bruit. J’imaginais que dans la pièce des yeux inconnus et silencieux scrutaient mon entrejambe. Cette sensation de soumission me plaisait tout ...
    ... particulièrement. Je me livrais sans retenue. Et à chaque fois que la bande de cire était arrachée me causant une douleur vive, des doigts inconnus venaient poser sur moi une crème apaisante. Quand vint le tour de mes parties génitales, le trouble m’a envahi. Je sentais au fond de moi que l’humidité gagnait mon sexe. Était-ce la douleur qui conduisait ce réflexe intime ou me comportais-je comme une petite cochonne? Je me sentais gonflée. J’avais l’impression que mon sexe prenait des dimensions incroyables. J’avais honte d’être excitée et exhibée ainsi. Elle m’a mise à quatre pattes pour m’épiler entre les fesses. J’avais l’impression d’être entièrement ouverte et qu’elle voyait l’intérieur de moi. Il me semblait que des coulées visqueuses s ‘écoulaient de moi de manière continue. Rien ne m’en donnait la confirmation mais au fond de moi j’essayais de retenir ce flot mouille qui s’échappait malgré moi. Je serrais les dents pour retenir mes gémissement. Je me sentais rouge de honte, les seins gonflés à en éclater. -C’est terminé maintenant . Vous pouvez enlever votre bandeau. J’avais toujours considéré l’épilation complète comme une pratique régressive. Un retour à la virginité infantile, un refus de s’assumer comme femme. C’est pourquoi je ne l’avais jamais pratiquée. Dans la glace je pus admirer mon corps sans poil, bien que légèrement rougi par l’épilation. Ça n’avait rien du corps d’une petite fille comme j’avais pu le craindre et parce que mes seins sont assez peu développés. Les petites ...