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Julie 4
Datte: 28/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... lèvres légèrement visibles étaient celle d’une femme au corps jeune et sans doute désirable. -Vous voyez, il ne fallait pas avoir peur. Et puis, beaucoup de femmes sont entièrement lisses maintenant. Même les femmes que vous avez vue dans le salon coiffure. Et vous seriez étonnée si je vous disait le nombre de femmes qui portent aussi des piercings et des anneaux en bas. D’ailleurs si un jour vous le souhaitez, je pourrais vous en poser… J’allais pour remettre mes vêtements. Elle me désigna un sac d’un magasin de mode près de la table. -Monsieur L, nous a apporté ce sac de vêtements pour vous. Les sous-vêtements étaient noirs fins et soyeux. Jamais je n’avais porté de dentelles de cette qualité. Il avait ajouté à cela une paire de bas auto-fixant eux aussi de couleur noire. La robe de couleur sobre était courte mais classieuse. Dans la glace, je me découvrais enfin femme. - Vous avez de la chance d’avoir un amant qui a du goût et qui en a les moyens. Maintenant permettez-moi de vous maquiller. Le résultat final était saisissant. Je me sentais jolie et désirable. J’avais hâte de retrouver Laurent, de me donner à lui complètement de pouvoir enfin caresser son corps. J’étais incroyablement légère, il faisait beau, j’étais amoureuse. C’était comme un premier rendez-vous. J’aurais sans doute accepté la langue de mon esthéticienne dans ma bouche à ce moment. J’avais besoin d’une longue étreinte charnelle. Nous étions maintenant à l’hôtel. Le repas et le champagne me tournaient un ...
... peu la tête. J’étais prête à te donner mon corps, Laurent. Lorsque je suis ressortie de la salle de bain ou j’étais allée me rafraîchir je t’ai trouvé nu sur le lit. Tu as été mon premier homme. Chez toi, tout était puissance et assurance dans les bras les épaules et les jambes. Rien à voir avec mes petits copains d’alors et leur corps d’adolescents. Ton sexe était large et dépourvu de pilosité, bien posé sur tes couilles détendues. J’ai esquissé un geste pour ôter ma robe. -Non, reste habillée. Montre-moi ce que tu sais faire ta bouche. Jusque là, la fellation n’avait jamais été mon truc. Juste pour faire bander, je prenais les queues dans la bouche, deux ou trois aller retour. Et une fois l’engin bien raide je continuais par une branlette avant de me faire enfiler. Et même si je ne sentais pas grand-chose, c’était important que le mec se vide en moi, son plaisir se substituant à celui que je n’avais pas. Cette fois j’avais vraiment envie de ce sexe de sa peau fine douce et fragile tendue sur ce gland qui n’était pas décalotté. Ma langue parcourait la longueur de la tige de haut en bas et de bas en haut. Je scrutais les soubresauts de la bite maintenant érigée. J’étais excitée et je sentais mon sexe s’ouvrir, mon ventre se creuser. Mes lèvres ont entouré ton gland et j’ai pu enfin découvrir la chair tendue et rouge foncée et le méat d’où perlait une goutte de liqueur salée. Ma langue s’est attardée à la découverte de ce nouveau fruit, d’abord timidement sur le pourtour puis ...