Découverte du plaisir avec ma mère (4)
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... moi aussi elle me manque, on riait bien tous les deux, même si, on peut le dire, son coté extra bourge et collet monté à la maison était parfois extrêmement pesant. — Oui si l’on veut, peut-être que son séjour aux States l’aura décoincée. — On ne doit pas non plus oublier que notre état est dû à son absence, aussi on lui saura gré. — Ne sois pas cynique, Marie-Paule est ma fille et je l’aime, c’est aussi ta sœur. Oui en effet son absence nous a permis de nous aimer. Elle est, de nouveau, parmi nous, on fera avec pendant quinze jours, on fera très attention à ne pas éveiller chez elle un soupçon de notre rapprochement. — Cela va de soi, mais dans quelques mois elle sera de retour définitivement. On devra, qu’on le veuille ou non, prendre en compte ce fait et voir comment nous allons faire pour continuer à vivre notre bonheur. — Je le sais mon trésor, ne crois pas que je ne réfléchisse pas à cela, mais prenons les sujets un à la fois et dans l’ordre. Pour l’instant vivons l’allégresse de revoir Marie- Paule, ensuite on verra comment remédier au problème qu’elle nous posera dans quelques mois. La venue de Marie-Paule se fera dans 45 jours pour la fin d’année, bien qu’elle soit le grain de sable à notre félicité, cela me faisait plaisir de revoir ma sœur. Depuis ces derniers mois je regardais maman s’épanouir telle une belle rose, elle était radieuse, cela enjoliva encore plus sa beauté. J’étais fou d’elle, j’apprenais tout de maman, par maman. Il ne se passa pas une journée sans ...
... que je m’instruisisse en tout sur la vie. L’arrivée de Marie-Paule, pendant un instant me fit craindre de ne pouvoir mettre au point ce dont j’avais prévu pour plaire à maman et combler son désir de femme que je découvris il y a quelque temps. Les quarante-cinq jours restants me suffiront pour peaufiner ma surprise et que tout réussisse. Je n’étais sûr de rien, ni de moi, ni de maman, mais je voulais faire ce cadeau à Aurélie, l’amour de ma vie. Chapitre 8 Qui ne tente rien n’a rien. Pour Aurélie je savais par expérience comment elle pourrait se comporter si j’arrivais à lui faire prendre trois verres d’alcool à jeun. De quelle observation étais-je en train de parler ? me demanderiez-vous par curiosité. C’était après les premiers ébats entre maman et moi, on finissait le stade des fornications intempestives et répétées. On commençait seulement à se rassasier de nos désirs et envies de nous, si longtemps refoulées. Nous eûmes la visite, un matin de Claudine, amie d’enfance de maman, celle-ci vint chercher maman pour se rendre à une réception d’une copine à elle, elle fêtait ses cinq ans de mariage. Maman chercha toutes les possibilités pour refuser de l’accompagner, Claudine les dissipa les unes après les autres. Disant à maman qu’il y aurait beaucoup de monde qu’une fois salué sa copine, lui avoir présenté nos vœux de bonheur, elles pourraient boire un cocktail ou deux voire deux ou trois coupes de champagne puis filer à l’anglaise. Maman lança son dernier coup pour ne pas y ...