1. Découverte du plaisir avec ma mère (4)


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... satisferait pareillement. — Bon ! vu le monde qu’il y a, Elise ne s’apercevra pas de notre départ. On va donc filer à l’anglaise. Ce que nous fîmes. Une fois à la maison, Claudine ne s’attarda pas vu le visage fermé d’Aurélie et de son humeur désagréable. Une fois seuls, je m’inquiétais auprès d’Aurélie afin de savoir la raison de son état. — Si tu me disais ce qui ne va pas, je pourrais peut- être faire quelque chose pour t’aider. — Rien, tout va bien. Je n’ai rien un peu bu sûrement me répond-elle — Écoute ce n’est pas que cela. Vu ton attitude. — OUI ! tu as raison, c’est parce que je suis une garce, la dernière des salopes. Voilà si tu veux tout savoir. — Ah ! Évidemment, mais si tu m’en disais un peu plus je me ferais une idée réelle de la chose. Salope, certes, mais pourquoi cette expression ? — Pourquoi ! tu veux savoir pourquoi ? Eh bien ! parce que je me suis conduite comme la dernière des dernières, comme une vraie chienne, voilà pourquoi. — Tu as eu des mots avec quelqu’un, tu t’es disputée, tu as manqué de respect à autrui ? — Mais non, mais non ! rien de tout cela, une salope je suis ! voilà, je ne te mérite pas, ma conduite est inqualifiable ! — Raconte-moi. Ensuite je serai seul juge, tu veux bien. Là ! maman craqua, elle se mit à sangloter posa sa tête sur mon épaule et commença à me raconter son aventure. — J’étais sur la piste en train de danser seule sur un rythme moderne, quand un slow arriva et je me suis trouvée dans les bras d’un homme, je ne sais ...
    ... comment, pour danser celui-ci. Un noir un bel homme, comme j’avais bu trois verres avec Claudine l’estomac vide, j’étais un peu grise. Je me suis donc un peu trop appuyée sur lui sans doute, car tout à coup j’ai senti sa queue enflée sur mon ventre. Au lieu de m’éloigner comme j’aurais dû faire, je me plaquai encore plus sur lui pour ressentir son membre dur contre mon pubis, on devait être indécent. Un couple en chaleur… — Bon ! il n’y a pas de quoi te mettre dans cet état-là, essaye-je de dire — Je n’ai pas fini… la suite te démontrera la salope que je suis… donc je me frottai à son ventre comme une dévergondée et me mis-je à dire « c’est moi qui vous mets dans cet état ? » et il me répondit « voyez-vous quelqu’un d’autre dans mes bras. Venez ! suivez-moi avant que les gens ne s’aperçoivent de notre émoi » et telle une chienne en chaleur je le suivis. Il m’emmena dans une pièce style bureau-bibliothèque. Là, ni une ni deux, il sortit sa queue bandante de son pantalon et me dit « suce-la, salope ! tu en meurs d’envie » eh bien non je ne lui ai pas mis uneclaque comme j’aurais dû, mais je me suis mise à genoux et j’ai pompé sa bite, je l’ai sucé, telle une vorace, avec envie, je te dis une salope je suis … Au bout d’un moment il me releva, puis me prit par les aisselles m’assoit sur un secrétaire, releva ma robe et déchira ma culotte… prit sa bite et me l’enfonça d’un coup dans la chatte, comme je mouillais, telle la chienne en chaleur devenue, cela lui facilita la tâche…Encore à ...
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