1. Vive le foot


    Datte: 18/02/2021, Catégories: fh, ff, ffh, cocus, vacances, forêt, noculotte, intermast, Oral fdanus, extraconj,

    ... de la mienne et m’embrasse avant de me dire : — Il y a longtemps que je n’avais pas joui trois fois coup sur coup ! Je lui demande comment ça se passe avec son mari. — Son plaisir à lui et son foot, après plus rien. Aussi je suis bien heureuse de t’avoir rencontré ! Et j’espère avoir l’occasion de te revoir. Je ne demande pas mieux et lui propose de se revoir dans la semaine, toute heureuse de la proposition, elle accepte et nous convenons du lendemain sous prétexte d’aller voir les chevreuils non sans lui demander d’être vêtue le plus sexy possible. ************************************************* Le lendemain soir, je toque, le mari me dit d’entrer, il est, bien entendu, devant la télé à suivre un match donc pas question de le déranger. Alix, vêtue d’un chemisier léger blanc presque transparent, une jupe noire très courte et de talons-aiguilles qui rehaussent la cambrure de ses reins, vient vers moi et m’explique qu’il y a un souci à la salle d’eau située à l’étage et qu’il serait souhaitable de le réparer rapidement. Je la suis, non sans lorgner ses jolies cuisses qui se dévoilent à mon regard chaque fois qu’elle monte une marche, je crois même qu’elle le fait exprès. Arrivé à l’étage, dés que nous sommes à l’abri du regard de son mari, elle me fait face et m’enlace, glissant une jambe entre les miennes, et pose sa bouche sur la mienne pour un long baiser. Mon anatomie réagit au quart de tour pour le plus grand plaisir d’Alix qui me murmure : — Je veux que tu me baises ...
    ... ici même. J’ai beau lui expliquer que son mari et ses gamins sont juste dessous et qu’elle court de gros risques, elle n’en a cure, elle veut que je la baise ici dans le couloir des chambres. Ce que femme veut, Dieu le veut et l’homme n’est que l’instrument de Dieu ! Pendant qu’Alix s’attaque à mon pantalon, je défais les boutons de son chemisier qui me dévoile un superbe soutien-gorge blanc dont les bonnets sont percés pour laisser voir les tétons et les siens sont déjà bien tendus aussi je m’empresse de les titiller du bout de la langue pendant que de la main je soupèse son auguste poitrine pendant qu’elle cajole ma pine déjà bien dressée. Nous restons un long moment à nous caresser ainsi avant que je ne faufile une main sous sa mini et caresse ses cuisses en remontant vers l’objet du désir de tous les hommes normalement constitués. Du bout des doigts, je devine un string en dentelle que j’ai tôt fait d’écarter de mon passage et tends un doigt qui franchit sans encombre le passage des grosses lèvres avant de pénétrer dans sa chatte humide. Je vais et viens en tournoyant au rythme des allées et venues de sa main sur ma hampe qu’elle cajole délicatement en appréciant la vigueur. — Je veux sentir ta bite en moi ! me dit-elle en se collant au mur. Je soulève une de ses cuisses et lentement glisse ma bite dans sa chatte humide par petits coups de reins tout en mordillant ses tétons qui dardent. Les bras autour de mon cou, elle décolle les pieds du sol et me murmure : — Oui encore ...
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