1. Vive le foot


    Datte: 18/02/2021, Catégories: fh, ff, ffh, cocus, vacances, forêt, noculotte, intermast, Oral fdanus, extraconj,

    ... enfouis posément ma bite entre ses cuisses. J’enfonce juste le gland et reste un instant ainsi à aller et venir sur une petite longueur, avant de ressortir et poser mon gland à l’orée de sa chatte. — Bourres-moi ! Je veux te sentir en entier ! Lentement, je glisse mon gland entre ses grosses lèvres et reste figé un instant sans bouger. — Salaud, tu m’excites, je ne peux plus attendre ! Je me retire, lui fourre deux doigts dans la chatte et vais et viens profondément, l’obligeant à se caler la tête entre les bras. Soudain elle tressaille, se cambre et pousse un long feulement de jouissance, je sens une ondée couler le long de mes doigts plantés au plus profond de son intimité. Sans perdre de temps, les mains agrippées à ses hanches, je lui enfonce mon gourdin dans la chatte et vais et viens profondément avant de revenir, mon gland glissé juste à l’orée de son vagin et ondulé. Elle me traite de tous les noms. Voyant son petit trou offert, j’y pose un doigt humide et lentement force l’étroit passage. Les jurons deviennent des supplications d’en finir au plus vite. Un doigt dans son petit trou, je la coulisse de plus en plus profondément lui arrachant des cris de jouissance. Je sens ma semence prête à jaillir, je ralentis la cadence avant de la pilonner de plus en plus fort. Mon foutre jaillit, je l’empale jusqu’à la garde et lâche mon jus à grands jets saccadés lui arrachant un tremolo de Oui ! C’est bon ! Les couilles vidées, je ne retiens ...
    ... plus les hanches d’Alix qui, épuisée, s’effondre sur le tapis de mousse. Allongée, elle tourne son visage vers moi, son regard n’est plus de braise mais il est illuminé d’un gigantesque feu de joie. Nous restons un instant, allongés l’un à côté de l’autre à nous frôler du bout des doigts avant de nous rhabiller pour redescendre. Chemin faisant, Alix ne cesse de me remercier car il y a bien longtemps qu’elle n’avait pas autant joui. ************************************************* Arrive le samedi, jour de départ, je vais au gîte pour récupérer les clés et profitant que son mari manœuvre la voiture elle pose une enveloppe épaisse dans ma voiture avec un grand sourire charmeur. Mon petit monde parti, j’ouvre l’enveloppe et y découvre le slip brésilien blanc qu’elle m’avait envoyé au visage, je le hume, retrouve tout son parfum et les souvenirs refont surface… Je sors la lettre qui l’accompagne. Je referme le papier et vaque à mes occupations jusqu’au soir où après souper, je me connecte à internet pour lire ma messagerie et j’y trouve un message de Laurence qui profite de l’absence de son mari pour surfer sur le net et me dit languir de me revoir et me demande si elle peut me téléphoner un soir où son mari et ses gosses seront absents, je lui réponds que c’est avec un certain plaisir que j’attends son appel. Ce qui ne tarde pas, et ce soir nous sommes restés scotchés au téléphone pendant plus d’une heure dans une discussion très très chaude… 
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