1. La surprise


    Datte: 18/02/2021, Catégories: ff, inconnu, fsoumise, fdomine, soubrette, intermast, sm, initff, Lesbienne

    ... engloutirent majeur et index avec avidité… ponctuée par des : « Plus fort !… », « Encore ! » et des « Oui !… Oui !… » pantelants. J’allais et venais en elle, attentive à chacun de ses sursauts puis, impatiente de la conduire à l’apothéose de la béatitude, je taquinais son bouton. La réaction fut immédiate et fulgurante. Quand je m’y acharnais un peu plus, je vis son corps se tendre et tressaillir, j’entendis sa respiration se couper et un puissant feulement sourd sortir de sa gorge. Quel spectacle !… Quelle vision féérique !… Elle jouissait bruyamment, longuement et m’offrait le plus beau des triomphes. Cependant, autant je me réjouissais de voir Inès au comble du bonheur, autant je me sentais frustrée de ne l’avoir pas totalement partagé. J’étais en feu et il me tardait d’être l’objet de furieuses attentions. Je rêvais d’inverser les rôles et devenir la chienne, l’esclave et la soumise dont on peut disposer à souhait… J’étais jalouse d’Inès et prête à subir toutes les humiliations pourvu que l’on me libère de ces insupportables exaspérations lubriques… — Merci Anna, dit-elle après avoir repris ses esprits. Elle avait abandonné la position « à quatre pattes » et s’était assise sur le tapis, juste en face de moi, les jambes croisées, m’offrant la vue indécente de sa chatte luisante. L’éclat de ses yeux avait changé : l’assurance et l’autorité s’étaient substituées à la soumission. Elle m’observa quelques secondes et reprit : — Tu m’as donné du plaisir… mais, il me semble, ...
    ... tu manques de savoir-faire… Qu’en penses-tu ? Sa remarque arriva à mon cerveau sens dessus dessous comme un coup de massue. Que disait-elle ?… Au lieu de s’occuper de moi, elle entamait un débriefing !… Et que pouvais-je lui répondre ?… Oui, c’était une première pour moi ! Jamais, auparavant, je n’avais caressé une femme !… Devais-je m’en excuser ?… — Cependant, j’ai adoré ton enthousiasme… Et toi, as-tu aimé me masturber ? reprit-elle très calmement, interrompant mes pensées. Je l’entendais à peine. Ses mots me parvenaient dans le désordre, entrecoupés par le film de mes envies. Comme je ne répondais pas, elle poursuivit : — Tu as bien deux mains, Anna ?— Oui, balbutiai-je, me demandant où elle voulait en venir.— Alors, peux-tu m’expliquer pourquoi tu ne t’es pas servi de celle qui était inutilisée pour te branler ?…— …— Tu n’en avais pas envie ? insista-t-elle.— Si… répondis-je piteusement, après maintes hésitations.— Et tu ne l’as pas fait ?… Pourquoi ?… Ta chatte ne criait-elle pas « au secours » ?— …— Anna !… gronda-t-elle, durement. Réponds-moi ! J’étais au supplice. Cette conversation humiliante contribuait à me déboussoler un peu plus : j’étais anéantie par ces propos vulgaires et excitée par celle qui les prononçait. J’avais espéré inverser les rôles… eh bien, j’étais servie !… Je me sentais dégouliner, ma culotte était trempée et, j’en étais sûre, ma jupe devait l’être aussi. Je continuais à me taire. — Lève-toi ! ordonna-t-elle subitement. Dans un état second, ...