1. Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine (5)


    Datte: 28/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vous gougnotter, surtout si Cassandre veut participer, il faut laisser tomber les a priori. Finalement les 3 se retrouvent à poil sur le lit conjugal, mais sans le conjugué, avec les 2 enfants, affamés de leur mère, comme des louveteaux avec la louve, tétant à tout-va. – Mes enfants, comme cela, cela ne va pas ! On arrivera à rien. Cassandre, mets-toi sur le dos que je te prépare à la perte de ta virginité si tu tiens tellement à la perdre aujourd’hui, il faut que ce soit bien fait, sinon, tu risques de devenir frigide, ce qui est une malédiction pour une femme. ...Toi, Hector, donne ta perforatrice à Cassandre, il faut qu’elle soit vaillante, il a déjà donné deux fois ce soir, même s’il est jeune et en bonne santé, un petit coup de pouce, ou plutôt de langue serait le bien venu. C’est ainsi que Martine se retrouva entre les cuisses de sa fille entrain de lui astiquer la moule pour qu’elle soit fine prête et que Cassandre en redemande. Plus laborieusement, Cassandre essayait de dompter ce monstre qui allait lui casser son petit pain. Même si elle appréciait le soin de maman pour lui faire reluire sa tirelire, le sexe de son frère lui distendait les mâchoires et elle commençait à avoir une sérieuse crampe des mandibules. – Maman, je crois que je suis prête, en tous cas, je n’en peux plus de ...
    ... lui sucer son sucre d’orge, surtout que son odeur montre qu’il a visité toutes les poubelles du quartier. – Merci ma fille de me comparer à une poubelle. – Excuse mam, mais le goût de ton gros intestin qui traîne sur les roupettes d’Hector, c’est pas du Nutella. – Je me retire et Hector, il ne te reste plus qu’à finir avec précaution la percée pour qu’elle ne soit pas trop douloureuse. – Je vais y aller lentement, Cassandre, relève bien tes cuisses que j’aie un bon accès si tu veux que je fasse ceci doucement. Il approche sa bite du trou brillant de sa sœur, un peu anxieuse de la suite des événements, il caresse avec son dard les grandes lèvres, lui fait dire bonjour à son petit frère qui trône à la fin de la crevasse, fait une petite visite à l’entrée des artistes. – Tu vas finir de tourner au tour du pot, j’attends ! – Si tu le prends ainsi. D’un coup relativement brutal, il se plante jusqu’au fond du fond et reste malgré tout tranquille, pour lui laisser le temps de reprendre son souffle. – Ohputain, ça a fait mal, mais maintenant, c’est fini, je ne sens plus la douleur et c’est le moment de me montrer ce que tu sais faire. – Maman, broute-lui un peu les nichons, elle va partir comme une fusée, maintenant que la douleur est passée. – Oh oui, ses seins sont comme je les aime, délicieux. 
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