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Période d'essai (1)
Datte: 19/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... train, j’arrivais à la gare Saint-Charles à 14 heures pour me rendre directement dans le quartier Noailles avec toutes mes affaires. J’avais finalement réussi à tout caser dans une grande valise, une sacoche et un sac à dos. Tous les matins, il me faudrait partir travailler et dans cette entreprise pas question de se présenter tous les jours dans le même tenue. J’avais choisi le métro car l’hôtel était à 5mn de marche seulement de l’arrêt. J’ai dû marcher bien 10 mn avec mes bagages car je n’ai pas trouvé tout de suite. Ca aurait été trop facile ! J’ai tourné un bon moment ! Pour être "central", il l’était cet hôtel. Malheureusement pour moi, il avait aussi pas mal d’escaliers et avec ma valise de 23kg, j’ai apprécié. A la réception au premier étage, je fus accueillie par un jeune maghrébin pas du tout engageant. Après m’avoir sèchement déclaré n’être pas informé de ma réservation, il appela deux de ses amis arabes que j’avais croisés et qui m’avaient sciemment frôlée dans la cage d’escaliers. Ils se mirent à parler en arabe en me détaillant d’un air concupiscent. Excédée je lui demandais de joindre son patron Monsieur Messaoudi qui lui devait forcément être au courant. Nouveaux palabres. Finalement il me demanda de le suivre en s’arrangeant pour que je passe devant lui… Il prit ma valise mais la sensation qu’il n’arrêtait pas de ma mater fut très désagréable. Après ça, cela ne s’est pas arrangé. Je me suis retrouvée dans un dortoir à 8 lits superposés mais finalement ...
... il y avait un 9ème lit. Le lieu était sombre, sentait mauvais. Il y avait une fille qui était encore au lit (le fameux lit supplémentaire) et il était quand même plus de 15 h ! Bref, elle avait un de ces bordels au bas de son lit, une chatte n’y aurait pas retrouvé ses petits ! Il n’y avait pas de clé à la porte d’entrée et visiblement ce dortoir était mixte. J’étais abasourdie. Un homme est alors rentré comme ça sans frapper. Je profitais de cet incident pour lui dire que je n’allais pas pouvoir rester dans ce dortoir. C’en était trop ! J’allais exiger une chambre individuelle. Voyant mon désarroi, le réceptionniste pris les devants. Il ne pouvait pas prendre d’initiative alors, je n’avais qu’à laisser mes affaires et ce soir à mon retour Monsieur Messaoudi serait là et je verrais avec lui. Mon compte banque étant à sec pour encore au moins deux ou trois jours, je compris que je ne pouvais pas faire grand-chose de plus. Il était presque quatorze heures, j’allais être en retard à mon bureau. Je me changeais rapidement en priant qu’aucun homme ne rentre plus dans ce dortoir. Il me fallait impérativement mettre une robe pour ce premier jour. J’avais un rendez vous avec le responsable du personnel à 16 heures. Une simple prise de contact mais cela était important, une première impression, même si je ne devais prendre mon poste que le lendemain. Finalement j’optais pour un jupe chemisier. Je m’aperçu que je n’avais pas de collant. Je tombais sur une paire de bas noirs et un ...