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Période d'essai (1)
Datte: 19/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe
... porte-jarretelles rouge que j’enfilais en toute hâte. Heureusement le tramway tout proche de l’hôtel me laissa directement à la Joliette juste devant ma nouvelle entreprise. Tout devait bien se passer. Le soir, j’arrivais à mon Hôtel affamée et complètement épuisée. Je n’avais même pas eu le temps de prendre un déjeuner. Le long trajet depuis Pau m’avait fatiguée, j’étais stressée par ce premier contact avec mon nouvel employeur et pour couronner le tout j’étais inquiète au sujet de ma valise qui fermait très mal. Je m’apprêtais à monter directement dans le dortoir ou j’avais laissé mes affaires, lorsque le réceptionniste m’indiqua un numéro de chambre au dernier étage. Mr Messaoudi m’y attendait et il avait récupéré ma valise. Il s’agissait d’une chambre individuelle sous les toits. Assez spacieuse, il y avait même un petit canapé. Je frappais et entrais. L’homme était de face, plus jeune que ce que j’avais imaginé, très typé et originaire de l’est algérien. Il me dit être né à Constantine Il s’assit au coin du lit me laissant le canapé. Je lui expliquais que mon séjour était provisoire et ne durerait que le temps de ma période d’essais, un mois au maximum. Je n’avais pas d’argent, que tout avait été payé au moment de la réservation, avec même un supplément à me remettre pour mes repas de midi au cas ou je ne pourrais rentrer pour déjeuner. Il avait du recevoir un virement… Il me regardait d’un air dubitatif et soupçonneux, faisant celui qui n’était pas au courant. Il me ...
... demanda ma carte d’identité et en pris une photo avec son smartphone sans même me demander l’autorisation. Dés que l’avais vu, il m’avait mise mal à l’aise et encore plus lorsqu’il changea d’attitude. Cette chambre lui était normalement réservée mais il ne s’en servait que comme bureau. Il pouvait la libérer pour me laisser provisoirement la place. Je compris très vite à sa manière de présenter les choses que je pouvais constituer la monnaie d’échange. Monsieur Arnaud lui avait sans doute touché un mot de la manière dont je m’acquittais de mon loyer à Pau. J’ai honte de le dire mais la simple pensée qu’il allait certainement falloir que j’y passe pour obtenir cette chambre me fit mouiller ma culotte. Il me complimenta encore sur ma tenue vestimentaire « très classe » puis il me demanda tout de go et sans la moindre gêne à voir mes dessous. Il voulait savoir si je portais des bas. Je restais sans voix, jamais un homme et qui plus est un inconnu, ne m’avait parlé d’une manière aussi directe. Son ton autoritaire, la fatigue, je ne sais expliquer, toujours est il qu’après quelques instants d’hésitations je remontais simplement ma jupe au-dessus de la limite des bas. Placé comme il l’était il devait en profiter pour voir également ma culotte. Mais cela ne lui suffit pas. Il en veut plus. Il me demande de me lever et de me trousser. Je ne sais que faire mais je m’exécute, il me fait tourner de dos, de face, de profil. Il n’a pas rangé son smartphone et je vois bien qu’il me prend en ...