Marine et les mécaniciens (1)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
uniforme,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
bourge,
... sent sa gorge devenir sèche et son cœur battre un peu plus fort. Elle passe le poste de sécurité et prend la direction de l’atelier. Le rideau métallique du bâtiment est complètement remonté. Marine se gare juste à côté de l’entrée, stoppe le moteur et descend du véhicule. Elle reste un moment devant l’entrée du garage, impressionnée. Un silence total semble régner à l’intérieur de l’atelier. Marine se décide enfin à franchir l’entrée. Les véhicules en cours de réparation semblent avoir été abandonnés, certains ont la trappe du moteur ouverte. Il règne une odeur faite d’un mélange de gas-oil et de graisse. Des panneaux de prévention des accidents sont accrochés sur les murs. La jeune femme observe un moment ce lieu qui semble exercer sur elle non pas une admiration mais une curiosité et une fascination intenses. Soudainement, elle semble avoir entendu un bruit métallique sur sa gauche, où une Citroën grise est garée toutes portières ouvertes. Elle se dirige vers la voiture et les talons de ses sandales résonnent dans l’atelier. Arrivée à environ un mètre du véhicule, elle voit quelque chose surgir du dessous. Surprise, elle se raidit. Le mécanicien au teint roux qu’elle avait aperçu la veille, allongé sur un dos à l’aise, apparaît brusquement, une clé à molette à la main. Tout aussi surpris, il ouvre des yeux bleus grands comme des soucoupes et reste allongé, immobile. Marine ne sait que faire et se retient d’éclater de rire tant la frayeur du soldat est visible. — ...
... Bonjour, je cherche l’adjudant Berthier, le chef de l’atelier. Où puis-je le trouver, s’il vous plaît ? demande Marine en affichant un sourire aimable. La femme prononce ces paroles après s’être accroupie afin de se mettre au niveau du mécanicien. Le visage du jeune rouquin, triangulaire, à la peau parsemée de tâches de rousseur, reste de glace mais vire peu à peu au rouge intense alors que ses deux yeux bleu clair sont écarquillés. Au bout d’un moment, Marine se demande si son interlocuteur a bien entendu la question et commence à s’inquiéter de l’état du jeune mécanicien. Mais son instinct de femme lui fait rapidement prendre conscience de la raison pour laquelle le visage du soldat est sur le point d’exploser : il est à peine à une cinquantaine de centimètres des jambes que Marine a malencontreusement écartées en s’accroupissant. Il profite, sans l’avoir voulu, d’une vue directe sur la fourche ouverte, sur l’intérieur intime des cuisses blanches, pleines et à la peau lisse mais également sur les lèvres, gonflées et recouvertes du fin tissu du slip de satin blanc dont les côtés laissent échapper le reste de la folle pilosité épaisse et foncée que le sous-vêtement ne peux retenir. Il peut également observer la masse ronde des deux fesses en partie dénudées. Marine déglutit avec peine et sent ses joues s’empourprer sous l’effet de la gêne. Elle reste immobile, les traits de son visage exprimant un sentiment d’étonnement et de frayeur, le souffle coupé par la situation qui l’a ...