1. Marine et les mécaniciens (1)


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, uniforme, poilu(e)s, Collègues / Travail Oral pénétratio, bourge,

    ... transformée si soudainement et involontairement en une femme exhibant la plus intime partie de son corps, directement, sans retenue. Le mécanicien, émerveillé comme pourrait l’être un collectionneur devant une pièce unique, semble être incapable de décoller ses yeux du spectacle dont aucun mâle ne pourrait s’empêcher de se régaler. Il lève ensuite son regard en direction de celui de la femme dont le visage est également écarlate, et les deux protagonistes se scrutent un court moment. Parvenant à se reprendre et partagée entre un sentiment de colère et de peur, le cœur cognant dans sa poitrine, Marine referme ses jambes et se redresse vivement pour ensuite reculer de quelques mètres. Elle remet mécaniquement en place une mèche imaginaire. Le jeune mécanicien, presque affolé, s’assoit prestement sur son dos à l’aise. — L’adjudant arrive, m’dame. Il sort de son bureau, dit le soldat en bredouillant et en regardant derrière son interlocutrice. Marine se retourne et se retrouve face à l’homme en question. Elle affiche un sourire de manière automatique, encore marquée par la situation qui l’a rendue si rapidement mal à l’aise et ne peut s’empêcher de se sentir impressionnée alors qu’une légère et sourde crampe se fait sentir au creux de son ventre. — Bonjour Madame, je vous présente mes excuses, je sors de la douche. La période est calme et j’en ai profité pour faire un peu de sport. Votre mari m’a prévenu. Nous allons voir cette fuite. Robert, laisse la Citroën pour l’instant et ...
    ... va regarder la fuite en question, ajoute-t-il en s’adressant au mécanicien. Madame, il faudrait lui donner la clé de votre voiture s’il vous plaît. L’homme a prononcé ces paroles calmement, d’une voix douce et grave. Marine le dévisage rapidement. C’est bien celui qu’elle a regardé la veille lorsqu’elle attendait son mari dans la voiture. Il a l’air sympathique et naturel. Berthier est vêtu d’une combinaison de travail impeccable et repassée. L’homme présente un aspect physique soigné. La fermeture éclair est légèrement descendue et laisse apparaître un début de poitrine recouverte d’une pilosité assez épaisse, couleur poivre et sel. Il regarde Marine, ses yeux sont noirs et pétillants. Décontenancée par la situation et éprouvant presque aussitôt une difficulté pour déglutir, Marine ne peut soutenir le regard qui semble la percer. — Bonjour monsieur, je vous remercie. J’espère que je ne vous dérange pas, dit-elle en bégayant légèrement, une sensation de chaleur aux joues.— Mais non, il n’y a aucun souci ! Venez attendre dans mon bureau, ce sera plus confortable que de patienter dans l’atelier.— Merci, c’est gentil ! Intérieurement amusée par l’expression confuse affichée par le jeune mécanicien, elle tend la clé de sa voiture au dénommé Robert, qui n’ose pas la regarder en face, et elle suit le chef d’atelier qui se dirige vers la porte vitrée d’un bureau situé au fond du garage. Après quelques pas, elle a le réflexe de se retourner et son cœur se pince brutalement lorsqu’elle ...
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