Marine et les mécaniciens (1)
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
uniforme,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
bourge,
... laisser passer et pénètre dans un petit vestiaire meublé de quelques armoires métalliques et d’un banc en bois. Une porte, dans le fond, donne accès au local des douches. La pièce, éclairée par un vasistas, enveloppe les deux protagonistes d’une certaine intimité. Marine se positionne dos au mur le plus proche alors que l’adjudant pousse légèrement la porte pour la fermer avant de faire face à la mère de famille qui le regarde, les bras le long du corps. Le regard de Berthier devient encore un peu plus sévère et Marine manque de s’effondrer lorsqu’elle sent la paume de la main droite du mécanicien se poser sur son ventre comme une plaque bouillante. — Oh ! crie rapidement Marine alors que l’adjudant plaque son autre main sur sa bouche tout en commençant de masser délicatement l’abdomen de sa partenaire.— Vous êtes très belle, Madame, dit l’adjudant d’une voix sourde. Je suis désolé, cela n’a pas beaucoup de sens ! ajoute-t-il, confus.— Mais non, ce n’est rien ! répond Marine qui ferme les yeux sous l’effet du compliment. Les deux mains de la femme ont saisi le poignet dont l’extrémité produit ce plaisir si torride. Une fois sa bouche libérée de l’emprise, Marine commence à gémir de façon continue et presque inaudible et saisit les épaules du mécanicien pour se rapprocher de lui et éviter de tomber. Les yeux mi-clos, elle parcourt le visage de l’adjudant d’une série de baisers tendres et désordonnés qui émettent de légers bruits mouillés. La bouche féminine s’approche de ...
... celle du mâle et les souffles des respirations se mélangent. Les quatre muqueuses se rencontrent rapidement pour un baiser furtif, comme une première approche craintive. Un baiser succède à un autre et Marine, prise d’un désir intense, entoure tendrement de ses bras la nuque puissante alors que son ventre se colle à celui de Berthier qui l’accueille en lui communiquant cette sensation intense de bien-être. L’homme pose ses puissantes mains sur les hanches de Marine et serre doucement la mère de famille contre lui. Les deux langues dardent pour prendre contact, s’évaluer, s’estimer et enfin s’enrouler l’une à l’autre. Les respirations, puissantes et haletantes, provoquent les seuls bruits qui habitent à présent la pièce. Les deux êtres, le visage écarlate, sont soudés l’un à l’autre. Les deux bouches se séparent enfin. Le visage de Berthier exprime à présent un désir masculin, presque animal. Il colle sa bouche à la peau blanche et brûlante du cou de Marine, qui tressaille immédiatement tout en enfonçant ses ongles dans le tissu épais de la combinaison de travail. Les mains de la femme sont ensuite refermées sur le crâne du mécanicien. Un gémissement presque inaudible mais aigu sort de la gorge de Marine. Les mains de l’adjudant ne restent pas inactives et Marine sent les pans de sa jupe remonter lentement jusqu’au niveau de sa taille. Les doigts tremblants du sous-officier saisissent délicatement la culotte au tissu fin qui recouvre les deux globes ronds et ses phalanges entament ...