1. Ballade texane


    Datte: 29/06/2017, Catégories: f, fh, ffh, jeunes, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, pénétratio, policier, aventure,

    ... le million, dans la malle arrière ! Brrr ! Après nous avoir déposés à l’hôtel, le shérif avait poussé l’amabilité jusqu’à me conduire chez le meilleur mécano du coin, un pote à lui bien sûr ! Lequel, bien entendu n’avait pas la maudite durite en stock, "Faut que j’commande à Houston, et avec DHL, je l’aurai demain matin, pas avant". J’avais alors bien essayé d’obtenir une réparation de fortune, cela m’a juste valu un "Rien à ce diamètre, fallait pas acheter japonais…". Si le shérif n’avait pas été là, j’aurais refourgué la Honda contre une autre occase, mais une telle manœuvre aurait éveillé ses soupçons. Du coup, le représentant de la Loi me raccompagne à l’hôtel, non sans m’avoir extorqué une invitation à dîner pour le soir-même ! Dans les couloirs de l’hôtel, regagnant ma chambre, je croise une femme de chambre absolument ravissante. Sa tenue, 100% conforme à nos fantasmes de mâle réveille en moi quelques envies : petite jupe noire sur des bas sombres, petit tablier en dentelles, chemisier blanc sur soutien-gorge noir et cornette blanche dans ses longs cheveux bruns, la demoiselle, 18-20 ans maxi, parait sortir tout droit d’un de ces catalogues coquins qui vous garantissent des "envois discrets" ! Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais moi, j’ai fréquenté pas mal d’hôtels, avec Certini, j’en ai vu des quantités de femmes de chambres : eh bien, 80% ne sont pas du tout affriolantes, et dans les 20% restantes, aucune, je dis bien aucune ne m’a jamais fait la moindre ...
    ... avance, aucune n’a jamais répondu favorablement à mes invitations, aucune n’a jamais fini dans mon lit. Pourquoi donc est-ce que je n’arrive jamais à trouver le bon hôtel, celui où comme dans les romans, les bonniches sont canons et toujours prêtes à satisfaire les moindres désirs et fantasmes des clients ? Une fois de plus, c’est raté, la soubrette répond à peine à mes salutations et refuse d’engager la conversation. Dépité, je rejoins ma chambre en me disant qu’il faudra bien que je glisse deux mots de mon fantasme hôtelier à Lilly… Debout devant la porte-fenêtre ouverte, mon amazone fume. En contre-jour, sa silhouette élancée se détache. Ses jambes interminables, ses cuisses fuselées, ses petites fesses serrées dans un bête slip en coton, son dos nu, sa nuque délicate finissent de réveiller mon désir. Comme je glisse derrière elle, me plaque contre elle, elle incline la tête en arrière sur mon épaule et m’octroie un petit bécot. Mes mains bien accrochées à ses seins nus malaxent fermement ses tétons. Relevant les yeux, j’aperçois alors, à trente mètres dans le parc, un jardinier immobile, confortablement appuyé sur le manche de son râteau et qui nous observe sans vergogne. — Hé, petite allumeuse, ne me dis pas que tu n’avais vu le jardinier !— Bien sûr que je l’avais vu !— Dis donc, tu ne serais pas vaguement exhibitionniste ?— Vaguement ? Carrément oui ? Tu n’imagines pas à quel point ! J’adore ça ! Franchement, si j’avais pas mes ragnagnas, on serait déjà en action ! La ...
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