1. La belle et la bête


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, voiture, collection, Oral pénétratio, fdanus, zoo, conte, délire, humour,

    ... provoquait ! Il fallait avouer que parfois, une bête peut se montrer très expressive ; celle-ci, avec ses yeux noirs en amande, rappelait la biche apeurée, celle qui a besoin qu’on la défende et qu’on la b… qu’on la protège. Enfin, disons une grande biche bossue qui blatère, mais quand le soleil tape, on est moins regardant sur ces menues différences. La décision de Jim était donc prise. Il attendrait que le chameau soit assis, il soulèverait sa queue, s’accrocherait à une de ses bosses et lui ferait son affaire, ça lui apprendrait à se montrer impudique. Sitôt pensé, sitôt prêt : le chameau, justement, était au repos et détourna pudiquement le regard. L’homme approcha doucement de sa proie au poil doré, défit son pantalon et sortit l’arme du crime. Il allait dévoiler l’objet de sa convoitise quand le chameau se redressa, se secoua sur ses longues jambes fuselées et avança de quelques pas. Pas découragé, l’homme rengaina, remonta le pantalon et suivit la bête qui se rassit un peu plus loin. La même opération que précédemment entraîna les mêmes effets. De toute évidence, la technique d’approche n’était pas vraiment au point. À la troisième tentative, la bête tourna la tête et l’homme lut dans son regard noir une nuance de reproche. — Quoi ? Quoi ? Qu’est-ce qu’y a ? Le chameau redressa le menton, cligna les yeux et se détourna avec un air de mépris. — OK, c’est bon, j’ai compris, tu veux des préliminaires, c’est ça ? Le chameau ne répondit rien mais Jim vint le flatter, lui ...
    ... tapota les flancs, lui caressa le cou et gratouilla le menton. — Heureusement que je suis seul, pensa-t-il, parce que si les copains me voyaient… La bête semblait jouir doucement de ce moment de tendresse. Elle fermait les yeux et sa peau se tendait un peu plus. L’homme passa le plus discrètement possible derrière elle, baissa son pantalon, ressortit son engin en imaginant les fesses blondes qui l’attendaient. Il souleva la queue du chameau et la vue d’un orifice palpitant qui lui faisait de l’œil acheva de l’exciter. Il approcha son gland turgescent. Il tremblait d’émotion. Il effleurait la blonde toison. Un long frisson le parcourut. Qui se communiqua à la bête et la tira de sa torpeur. Elle se secoua et se leva à nouveau. L’homme trépignait. — Sale chameau ! Sale chameau ! Sale chameau ! Pour plus de commodité, et parce qu’il trouvait ridicule de devoir à chaque fois baisser et remonter son pantalon, il préféra l’ôter définitivement. L’orgueil blessé avait rendu à l’homme son instinct de chasseur : il ne serait pas dit qu’on résisterait à sa puissance. Il poursuivait et immobilisait le chameau qui se dérobait à chaque tentative de baise. Ils parcoururent ainsi une certaine distance qui les mena dans une oasis, au milieu des palmiers. La bête s’arrêta à l’ombre de l’un d’eux, à côté d’une magnifique Ferrari rouge décapotée. Le temps que Jim s’interroge sur sa présence dans une oasis en plein désert, une splendide blonde à la carrosserie parfaite en descendit. Perchée sur des ...