1. Vally


    Datte: 22/02/2021, Catégories: ff, fbi, Masturbation intermast, Oral fgode,

    ... contre l’autre, et nous sombrons rapidement dans un sommeil bien mérité. Bip, bip, bip ! Je suis tout embrumée par le sommeil, et il me faut un moment pour réaliser que le téléphone insiste, le vicieux, pour me voir toute nue au réveil, après beaucoup d’amour donné et reçu. À tâtons, je trouve l’engin (le téléphone, pas ce que vous croyez), et décroche. Il s’agit d’un télégramme téléphoné, la confirmation écrite viendra plus tard. "Arrive ce matin même, j’ai remplacé un collègue. Je serai là pour ta période. Mille baisers partout. Will". — Voua ! Je pousse un cri de joie qui achève de réveiller ma délicieuse Vally, qui s’étire voluptueusement, ignorant encore de ce qui nous attend sous peu.— Vally chérie, devine ce que je viens d’apprendre.— Hum ! Sais pas, je dors.— Réveille-toi, ma toute belle, Will arrive ce matin même, je ne sais même pas à quelle heure.— Quoi ! Il arrive maintenant ? dit-elle en s’asseyant, vraiment réveillée et ébouriffée, mais si belle avec sa douce bouche gonflée de tous les baisers donnés et reçus tout partout. Je constate qu’elle est très émue, son souffle est amplifié, et elle rougit même un peu. Je jurerai qu’elle mouille autant que moi à l’idée que Will peut être là d’un moment à l’autre. Il ne s’agit plus de fantasmer, il arrive pour de bon. La voilà au pied du mur, moi aussi d’ailleurs, et je l’imagine bientôt aux pieds de mon amant, à genoux et la bouche active, bien remplie. — Vite ! Levons-nous, faisons-nous belles pour le recevoir. Je ...
    ... l’entraîne dans l’action pour qu’elle ne réfléchisse pas trop, ni ne se défile. Toujours nues, nous faisons rapidement le lit, chacune d’un côté, avant de foncer vers la salle de bain pour vider notre vessie, l’une sur le bidet l’autre sur la cuvette du WC. Nous nous douchons soigneusement, mais rapidement, nous effleurant juste un peu pour rester dans l’ambiance, mais concentrées sur l’efficacité de notre toilette intime, tout en fantasmant terriblement sur ce qui va arriver d’ici peu. Mon cœur bat fort, et je suppose que le sien aussi. — Tu me laisses faire avec Will, d’accord ? Dis-je en m’essuyant.— Bien sûr chérie, c’est à toi de prendre toutes initiatives appropriées ; je ferai exactement tout ce que tu voudras, répond-elle les yeux baissés, soumise ou peut-être tout simplement recueillie sur ce qu’elle doit sentir couler entre ses cuisses. Je la connais bien maintenant, et je peux deviner à l’expression de son visage ce que vivent les lèvres de sa vulve, et le plus profond d’elle. — Parfait, alors ce sera magnifique !— Tout de même, je meurs de faim, on peut prendre un petit déjeuner ?— Oui, je vais mettre de l’eau à chauffer, mais faisons-nous belles pendant ce temps, au cas où il arriverait. Nous nous habillons, devant le grand miroir, brossons nos cheveux (j’ai plusieurs brosses), nous faisons nos cils, et mettons une touche d’un rouge à lèvres brillant, et d’une couleur rose vif, assez proche de la couleur naturelle de notre intimité lorsqu’elle est bien échauffée. — ...