1. Le minou de la voisine


    Datte: 22/02/2021, Catégories: fh, voisins, douche, noculotte, Oral aliments, zoo, humour,

    ... exercice. En cette joute amoureuse, je termine premier d’une courte tête ; elle vient me rejoindre deux ou trois secondes plus tard. Elle pose la tête sur ma poitrine. Je la caresse des seins aux hanches, perdant aussi mes doigts dans sa toison fournie. — C’est étrange ; je te croyais adepte du minou épilé. ~~oOo~~ — Pourquoi ?— Ton allure, ta façon de t’habiller… Je me marre et lui en explique les raisons : — J’ai peur de l’épilation ; ça fait mal, et le rasage, très peu pour moi : ça gratte quand ça repousse. De temps à autre je suis bien obligée de me faire faire le maillot, sans plus. Tu n’aimes pas ?— Oh, que si ! C’est adorable. Je suis resté très gamin : j’adore les peluches. Le restant de mon séjour, je me balade nue dans l’appartement, ne voulant pas abîmer son beau maillot. Nous passons le dimanche à grignoter, boire, passer sous la douche et faire l’amour, parfois le tout ensemble. Ça peut se faire : on a essayé et réussi. Les jambes autour de sa taille, accrochée à son cou, le dos calé contre le mur, bien fichée sur son pieu, je picore un abricot planté entre ses lèvres tandis que l’eau coule sur nous. ~~oOo~~ — Que faisons-nous ? me demande-t-elle.— Nous pourrions faire un gâteau.— Ouuuiii, trépigne-t-elle. Ce faisant, ses petits seins tressautent de joie pour mon plus grand plaisir. Je prépare les ingrédients, farine, huile, œuf, sucre et levure chimique. Je mélange le tout sous le regard intéressé de l’intéressée : elle ressemble à son chat devant une ...
    ... tranche de jambon. Je verse cette préparation dans un moule. — C’est tout ? se lamente-t-elle.— Attends, gourmande. Je préchauffe mon four, thermostat 4, puis je laisse s’égoutter le fromage blanc. Je bats des jaunes d’œufs qui ne m’ont rien fait avec du sucre, de la crème fraîche et du sucre vanillé, j’ajoute des raisins secs et je mélange cette mixture au fromage égoutté. Je trempe mon doigt dans cette préparation et fais goûter à mon assistante. — Goûte, et dis-moi si c’est assez sucré. Elle suce mon index dans un geste d’une rare sensualité et en profite pour me mordiller. — Ch’est farfait, chuinte-t-elle, avec mon doigt entre ses lèvres. Je récupère mon index et badigeonne de fromage sucré ses tétons que je m’empresse de lécher. — Au poil ! Délicieux. Je bats des blancs en neige ferme tandis qu’elle se colle contre mon épaule. Nousmélanchons les blancs avec le fromage et versons le tout sur la pâte, dans le moule. J’enfourne le tout et programme le four pour quarante-cinq minutes. — Le four s’éteindra automatiquement ; il ne reste plus qu’à attendre.— C’est long, quarante-cinq minutes, surtout qu’après il faut le laisser refroidir… Qu’allons-nous pouvoir faire ? minaude-t-elle avec un petit air coquin. ~~oOo~~ — J’ai bien une idée, me dit-il avec un petit air coquin. Toute la cuisson – et même bien après – se passe dans la chambre en tendres embrassades, en chevauchées langoureuses, en caresses torrides. Mais surtout nous dormons, beaucoup. Cette activité pratiquée de façon ...