1. Retour à la réalité


    Datte: 23/02/2021, Catégories: jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, fantastiqu,

    ... temps de ranger mes affaires ! À l’intérieur, la petite tente igloo de Thomas, que j’avais « oublié » de rendre à Marc, la veille. Un prétexte tout trouvé pour contacter l’étudiant. Remettant chaque chose à sa place, je vidais mon sac – au sens propre ! – trouvant dans cette activité mécanique un semblant d’apaisement. Je faisais le tour des nombreuses poches de toile quand mes doigts se refermèrent sur un papier roulé en boule. Débordante de curiosité, je défroissai le mot. Il ne contenait qu’une seule ligne, une adresse mail en réalité. Celle d’un certain Thomas Ginest… -- oOo-- Après une dure journée de labeur, à désherber les plates-bandes aux côtés de son père et à traiter les fruitiers, Thomas se prélassait dans son lit, son ordi sur les genoux. Face à lui, dans une tenue un brin provocante, Megan Fox lui offrait le plus beau des sourires. Bientôt l’heure de son chat quotidien avec Coralie. En attendant que sa copine pointe le bout de son nez sur MSN, Thomas déverrouilla un répertoire protégé. L’explorateur affichait une bonne centaine de photos, prises avec son Nikon D60 deux semaines auparavant. Thomas lança le diaporama. La mine boudeuse, tendant la main vers l’objectif pour l’empêcher de cadrer, une nymphette pleine de taches de rousseur et aux longs cheveux blonds apparut à l’écran. Coralie, d’abord gênée, qui se détendait au fil des photos, prenant la pause en souriant, entortillant une boucle vaporeuse sur son doigt, lançant un regard aguicheur par dessus son ...
    ... épaule. Et même – ô joie ! – consentant à se dévêtir. Une à une, les pièces de vêtements disparaissaient, révélant une silhouette menue, mais agréable. Coralie fut bientôt nue ; seul un chapeau de paille à larges bords dissimulait ses formes, préservant symboliquement sa pudeur. Sur les clichés suivants, exit le chapeau. Rougissante, elle dévoilait à l’objectif tous les secrets de son corps. Le Nikon se rapprochait insensiblement, délaissant la jolie frimousse pour des plans plus serrés. Cette fois-là, Coralie l’avait stupéfié. Elle n’avait pas hésité à écarter les cuisses, se caressant devant lui tandis qu’il la mitraillait comme un fou. Lui qui la croyait coincée ! Sur la dernière série de photos, on ne voyait plus que son bel abricot fendu, écartelé par la pénétration active de ses doigts et poissé de mouille. À dix-huit ans passé, Thomas Ginest venait de découvrir une vérité universelle : chaque femme, ou presque, abrite aux tréfonds de sa psyché une créature avide de plaisir. Brimée par la pression sociale, la peur du « qu’en-dira-t-on », le succube qui se dissimule en nous ose parfois se montrer à visage découvert, à qui sait l’apprivoiser. Elle est alors prête à libérer toute son énergie sexuelle et à se donner au centuple, laissant à son partenaire effaré le sentiment d’une explosion de lubricité totalement inattendue. L’ado regardait défiler les photos sans même défaire la braguette de son jean. Préoccupé par son infidélité, il ne bandait pas. Certes, ce n’était pas son ...