1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°760)


    Datte: 28/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sur le sol ! Je m’efforce de maitriser ma respiration et d’absorber la pisse qui sort en jet dru et se répand dans ma gorge. Une fois les dernières gouttes avalées et le gland consciencieusement nettoyé, Ludo me redresse légèrement en tirant sur ma chevelure. Lui repousse d’un pied, brutalement la chaise sur laquelle il était assis et s’accroupit devant moi. Sitôt positionné, il m’enfonce sa langue dans ma bouche pour une longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins. Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif plaisir. Sa salive inonde ma bouche, il recule son visage, crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle. - Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre. Je présente une fois encore mes plus humbles excuses, mais cette fois-ci Karl s’en mêle. - Tu crois salope que encore longtemps nous allons nous contenter de tes excuses ! N’es-tu point là pour nous obéir strictement ? - Si Monsieur - Et pourquoi tu obéis ? - Parce que je suis une salope Monsieur ! dis-je timidement - Comment ? - Parce que je suis une salope Monsieur ! répète-je plus distinctement. - Tu ne mérites même pas ce qualificatif ! reprend Karl comme désespéré. Pendant ce court échange, Ludo m’a débarrassé le cul de ce gode, et défait le lien ...
    ... maintenant mes couilles liées avec celles de Loïs. - Sur le dos, ici ! m’ordonne Karl, maintenant nu, en me désignant d’un doigt précis le lieu, les petites flaques de liquide odorant d’urine. Je m’exécute sans tarder. Après avoir décrassé ses semelles avec ma langue, une fois qu’elles ont bien écrasé mes seins, ma bite toujours dressée et mes couilles, il s’assied sur mon visage. - Bouffe, salope ! Bien que j’étouffe un peu, je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes et enivrantes. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant ainsi d’être plus efficace, il cherche, je le comprends, à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce que c’est et continue sans fléchir à lécher sa pastille, m’attardant parfois sur ses fesses rebondies et bronzées. Peu après, il reprend son assise, immobilise mes mains avec ses genoux quand une douleur piquante et mordante m’assaille de nouveau : celle de la cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il déverse à la base de ma bite. Je me tortille de douleur et de plaisir tout en continuant à enfoncer ma langue dans son trou maintenant bien baveux. La cire chaude provoque mille piqures excitantes que je ne cherche plus à éviter quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent ma nouille, mon gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris ...