1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°760)


    Datte: 28/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... étouffés, tout en espérant que cette torture délicieuse ne cesse pas trop vite. Trop concentré sur ces sensations douloureuses mais terriblement excitantes, j’en oublie ce cul m’écrasant pourtant. Karl se relève, m’injurie en me traitant de bon à rien et m’ordonne de me relever et de me tenir à genoux. Je constate que ma bite a disparue sous une épaisse couche de cire rouge, sans avoir débandée pour autant. Devant moi, en levrette, Loïs se faire bourrer copieusement par une saillie profonde en sodomie, je l’envie ! Les quelques minutes de repos qui nous sont accordées, nous sont bienfaitrices. Loïs et moi restons allongés sur le sol, côte à côte, silencieux. Sans un seul mot à notre égard, les deux Dominants partent au bout d’un certain temps et dès la porte fermée à double tour, Loïs m’attrape la main en me questionne : - Es-tu déjà allé au bordel dont on nous a parlé ? - Non jamais, et toi ? - Moi non plus, mais Karl, mon Maître m’en a beaucoup parlé ! - Et qu’est-ce qu’il t’en a dit ? - C’est un bordel BDSM mixte… des esclaves mâles et femelles y sont emmenés pour… Loïs interrompt subitement sa conversation, Karl, son Maitre, est de retour. - Allez les putes debout, il est l’heure de prendre une douche avant d’aller travailler, vous allez tapiner grave cet après-midi et une grande partie de la soirée. En guise de douche, Loïs et moi sommes arrosés au jet de jardin, l’eau est froide et claque d’abord sur nos omoplates, nos dos, nos fesses que nous devons tenir ...
    ... écartées, Karl visant particulièrement nos trous. Puis nous devons nous retourner, l’eau éclabousse nos visages, nos poitrines. La couche de cire épaisse que j’ai sur la bite vole en morceau sous la pression du jet, nos couilles sont particulièrement visées. Nous tremblons, grelotons, gémissons, geignons. Karl nous tend un flacon de savon liquide en ordonnant : - Chacun savonne l’autre ! Nous nous lavons mutuellement, n’oubliant aucune partie de notre anatomie, y compris celle la plus intime. L’excitation me gagne de nouveau, si bien que, lorsque Loïs introduit son majeur entre mes fesses, je ne peux retenir une subite et belle bandaison. A mon tour d’introduire de me glisser en lui, sa nouille réagit au quart de tour. J’astique son gland, lui récure le mien… Nous sommes à deux doigts de jouir, lorsque le jet, plus puissant encore et toujours aussi froid, déconstruit rapidement nos édifices érigés. Nous nous séchons rapidement, puis partons nus. Nous longeons un long couloir étroit et peu éclairé, et regagnons un garage. Une voiture est là, Ludo aussi, il tient la portière du coffre ouvert. - Allez les chiennes là-dedans ! Loïs monte le premier, je m’apprête à le suivre, lorsque soudainement Ludo m’attrape un bras, me stoppe dans mon élan - Mains sur le parechoc, écarte les cuisses, cambre tes reins, m’ordonne-t-il. A peine ai-je le temps de prendre la position que déjà, je sens la bite brulante de Ludo se coller contre ma pastille. Il me pénètre d’un trait, m’encule sauvagement, ...