Une belle histoire
Datte: 23/02/2021,
Catégories:
fh,
piscine,
douche,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
... avait raison, pas comme ça, pas de façon si sauvage. Nous devions revenir sur terre pour nous remettre de ces émotions intenses. Notre culpabilité resterait amoindrie tant que nous ne passerions pas totalement à l’acte. Alors, notre étreinte se prolongea longuement, apaisant peu à peu son corps encore en feu et faisant décroître mon excitation impudique. Ce ne furent plus que des petits baisers échangés du bout de nos lèvres, dans nos cous, sur nos joues, nos fronts. Ce ne furent plus que douces caresses dans le dos, les reins, évitant toutes zones érogènes pouvant compromettre ce retour au calme. C’est elle qui lentement rompit cette étreinte douce, pour se laisser glisser en deux brasses vers le bord de la piscine qu’elle quitta avec grâce et féminité. Je la suivis du regard, m’attardant sur ses hanches arrondies qui contrastaient agréablement avec sa taille fine. Mais quel démon nous avait piqués pour nous retrouver ainsi, amant-amante, sous ce beau soleil ? Avant de disparaître dans la cuisine, elle se retourna et m’envoya un bisou coquin du bout des lèvres. Pour laisser totalement reposer mon érection, je fis quelques longueurs dans la piscine, gardant un maximum la tête sous l’eau comme pour ne pas revenir à la réalité. Elle ne me laissa que peu de temps à gamberger, tout seul au milieu de cette piscine. Elle réapparut, vêtue d’un peignoir de bain blanc, s’approchant du bord, toujours souriante, m’en tendant un autre. Décidément, cette jolie femme prenait grand soin ...
... de moi. J’empruntai l’échelle pour m’extraire hors de l’eau, et m’empressai d’enfiler ce peignoir qu’elle me tendait. À peine avais-je noué la ceinture qu’elle s’approcha un peu plus en quête d’un baiser que je ne pouvais lui refuser. Un petit et court baiser que nos langues mirent à profit pour se câliner un instant. — On passe à table ? m’interrogea-t-elle.— Oui, avec plaisir, répondis-je timidement. Un nouvel apéritif fut le bienvenu pour nous remettre de nos émotions et nous permettre d’être tout aussi à l’aise dans notre langage que dans notre étreinte précédente. Ce qui n’était point évident d’ailleurs. Les premières banalités sans intérêt dispersées durant la salade d’été, nous trouvâmes nos mots plus facilement lorsqu’elle servit le plat de poisson cuit à la vapeur. Le frais vin rosé nous aida également à nous parler sans gêne et sans retenue. Nous étions assis face à face, me permettant ainsi de caresser sa jambe de mon pied comme par inadvertance. L’échancrure de son peignoir me laissait à loisir jeter un œil gourmand sur la naissance de sa poitrine à peine dissimulée, dont elle ne se souciait guère d’ailleurs. Elle confia que c’était le premier écart de conduite auquel elle succombait en 21 ans de mariage. Elle ne savait d’ailleurs expliquer pourquoi. Certes, elle avait maintes fois imaginé ce genre de situation. Elle me racontait avoir repoussé à de nombreuses reprises diverses avances de ses collègues de travail, ou pire encore "amis" relativement proches de la ...