1. Une belle histoire


    Datte: 23/02/2021, Catégories: fh, piscine, douche, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    Une belle histoire Mon espoir est que ce récit vous plaise et vous enchante, mais surtout, qu’un jour, le hasard conduise Françoise à lire ce texte, afin qu’elle sache à quel point elle a animé mon imaginaire intime. Françoise est la mère d’une mes élèves. Je suis en effet enseignant d’auto-école. Mais à 44 ans, même si les jeunes élèves à qui j’enseigne sont parfois très mignonnes, l’écart d’âge est vraiment trop important pour vivre une quelconque aventure avec l’une d’elle. Par contre, de plus en plus, je me surprends à flasher sur les mamans qui bien que quadra pour la plupart, ne sont pas totalement dépourvues de charme. Ainsi, Françoise, est l’une d’elle. 45 ans, d’une allure mince et soignée, Françoise possède un minois étincelant. Des yeux en amandes, une bouche fine, un teint halé, qui ne sont pas sans rappeler le visage de Christine Boisson. Une coupe mi-court blonde, savamment négligée qui ne me laissait pas indifférent. Ce samedi-là, elle était venue accompagner sa fille en leçon, afin d’assister, comme le veut le règlement, à un rendrez-vous pédagogique. Pour moi, c’était un bonheur de passer deux heures en si charmante compagnie, car la fille possédait autant de charme que la mère. Le petit plus de la mère résidait dans son regard direct, malicieux et doux. En cette fin d’été, elle était vêtue uniquement d’une petite robe légère boutonnée de bas en haut, laissant les genoux bien dégagés. Elle s’était installée à l’arrière de la voiture, derrière sa fille ...
    ... d’élève. L’ambiance dans ce véhicule était très détendue. La fille faisait preuve de maîtrise et je la félicitai à la grande satisfaction de sa mère qui souriait en permanence. Je ne me rendis pas compte tout de suite que je jetais de nombreux coups d’œil dans le rétro, et qu’à chaque fois, je croisai l’image de Françoise et de son joli visage. Cette femme m’attirait. Les divers réglages de mon rétroviseur me permirent de détailler un peu plus cette passagère arrière. Elle ne devait pas posséder une grosse poitrine, qu’elle dissimulait quand même dans un soutien-gorge que je devinais rose, car une bretelle était apparente dans l’échancrure de sa robe. Elle se tenait jambes croisées, laissant la nudité d’une demi cuisse bien visible. Son bronzage était intense, bien doré, à croquer. Au détour d’un nouveau contrôle dans mon rétro, j’eus le plaisir de capter furtivement la vison d’une parcelle de sa culotte d’un rose certainement assorti au soutien-gorge. Vision vite masquée par les jambes qui se croisèrent. Je me retournais également assez souvent pour échanger des propos relatifs à la conduite de sa fille que nous échangions tous deux très souriants. J’étais en train de tomber amoureux de cette femme. Je jetai alors un œil sur le dossier de sa fille, contenant également pas mal de renseignements sur les parents. Elle s’appelait donc Françoise A., était née dans l’Ariège il y a 45 ans, était mariée à Jean-Claude S, etc. Je préférais ne pas trop extrapoler, en me raisonnant simplement. ...
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