L'envol des tourterelles (3)
Datte: 24/02/2021,
Catégories:
Lesbienne
Une trentaine de minutes s’écoulèrent avant que la porte de la salle de bain s’ouvre de nouveau. La mère avait eu amplement le temps de préparer la chambre de sa fille, les accessoires ainsi que sa tenue personnelle. Sophie sortit rapidement de la salle de bain, presque au pas de course, et traversa l’espace d’environ trois mètres séparant les deux pièces, tout en passant devant la porte de la chambre parentale laissée entr’ouverte mais qui ne semblait laisser filtrer aucune lumière. La jeune fille semblait en état de choc. Elle se jeta sur sa mère qui l’attendait debout à côté du lit. Cette dernière l’enlaça tendrement dans ses bras maternels. Jasmine, s’étant changée, portait simplement un peignoir de ratine rose qui lui descendait à mi-cuisse, fermé par un cordon issu du même matériel. Sophie avait revêtu, comme la consigne reçue de sa mère l’exigeait, le petit ensemble de dentelles bleu ciel. Signe de nervosité ou simplement de maladresse, sa culotte était visiblement de travers et les cordons latéraux attachés de façon inégale. Son épiderme exhalait un agréable parfum de talc. Ses cheveux étaient à présent détachés et descendaient sur ses épaules. La pauvre était en sanglots. « Maman, maman, lui dit-elle d’une voix chevrotante, j’ai… j’ai eu un accident! Aussitôt installée au fond de la baignoire, j’ai senti un engourdissement provenir de mon petit trou. Cela a monté rapidement dans mon ventre et j’ai tout de suite senti un besoin impérieux de…de… enfin tu sais… Je ne ...
... pouvais plus faire quoi que ce soit. Je n’avais pas le temps de me rendre au cabinet de toilette. C’était si fort, je n’ai pu me retenir… - Ça va mon poussin, je comprends, lui répondit doucement sa mère, ça va, c’est fini maintenant. Comment te sens-tu à présent? - Bien, - Sophie n’était pas vraiment sûre -, je crois. Mes crampes m’ont laissée. C’est sûrement la nervosité. Maman j’ai tellement honte! S’écria-t-elle dans un sanglot qu’elle ne put étouffer. Dis, je ne vais pas être malade? » Jasmine, toujours aussi calme et serrant un peu plus fort sa fille sur elle tout en respirant l’épiderme de son cou, la rassura : « Ne crains rien, ma chérie, je suis là. Tu ne seras pas malade. Essuie tes larmes, on va s’installer tranquillement. » Dans ce dernier mouvement d’étreinte, Sophie crut sentir un long et dur objet s’infiltrer hors du peignoir de sa mère et lui passer entre les cuisses, presque à la hauteur de sa chatte. « Donc j’ai pris le temps de tout nettoyer, de remplir le bain de nouveau et de me baigner comme tu voulais. Je me suis aussi poudrée pour que je sente bon. - C’est très bien, ma puce. À présent, laisse-moi ajuster ta petite culotte, ensuite on va y aller doucement. » Jasmine s’accroupit à la hauteur des hanches de sa fille et tira doucement sur les cordons du côté droit du slip. Elle refit rapidement le nœud, puis elle glissa un index entre la boucle à l’arrière du sous-vêtement et la peau chaude et soyeuse de l’entre-fesses de sa fille afin de relever le slip ...