1. L'envol des tourterelles (3)


    Datte: 24/02/2021, Catégories: Lesbienne

    ... jusqu’au haut du pli fessier. La pression du tissu se fit sentir un peu plus sur le clitoris de Sophie. Ce dernier geste surprit la jeune fille qui ne s’y attendait pas. Elle sentait que sa période de virginité tirait vraiment à sa fin. « Maintenant, dit sa mère, tu vois le petit tapis par terre? Tu vas t’agenouiller dessus et déposer la tête sur le petit coussin à l’extrémité. » Jasmine avait désigné une pièce de tissu d’environ un mètre sur un mètre cinquante, à très longs poils de couleur beige. Le tissu était doux et chaud au toucher. Sophie s’exécuta, avec hésitation et tremblements. Les fesses ainsi à l’air, elle pouvait sentir à travers son vêtement la brise soufflée par le ventilateur du plafond. Ses petites lèvres et sa rondelle sentaient l’air frais qui en dissipait la transpiration. Complètement désespérée, elle sentit sa mère s’approcher de ses parties intimes. D’un coup, rassemblant tout le courage qui lui restait, elle adressa à Jasmine une ultime requête : « Maman, j’ai subi une humiliation dans la salle de bain, et j’en connais maintenant une nouvelle, puisque tu me vois dans toute ma nudité. » En effet, l’ensemble de dentelles ne voilait absolument rien de ses parties et ne servait manifestement qu’à exciter toute partenaire qui partagerait ces moments privilégiés. « J’aimerais, reprit-elle, moi aussi te voir avant qu’on aille plus loin. » En terminant sa phrase, elle se redressa sur ses genoux et se retourna. Sa mère, qui s’en allait porter la main à l’anus ...
    ... de sa fille sous sa culotte, ne put qu’acquiescer : « C’est vrai, tu as raison. En fait c’est de ma faute. Tu m’excites tellement que je m’en allais sauter une étape importante. Relève-toi. » Les deux se retrouvèrent debout, Jasmine tournant le dos à sa fille. Sans se retourner, elle détacha le cordon de son peignoir, laissa glisser ce dernier le long de son dos puis sur ses fesses. Le vêtement se trouva ensuite au sol. Sophie admira le corps de sa mère, ses cheveux roux comme les siens couvrant ses épaules, un dos pur et bien bronzé car Jasmine adorait s’exposer au soleil les seins nus, ses fesses à peine tombantes mais toujours fermes, surmontées au coccyx d’un petit tatouage central de 10 cm évoquant des lignes entremêlées. Chez elle également, la culotte de bikini avait laissé sa marque, laissant même deviner l’emplacement des anneaux latéraux du slip porté à la plage. Sophie remarqua de plus une bande de cuir noir qui lui ceignait les hanches et une autre qui, partant du centre et couvrant partiellement le tatouage, se perdait dans le pli fessier. Jasmine pivota lentement en direction de l’initiée. Sa fille, à la vue du gode fixé au harnais que portait sa mère, défaillit presque. Ses craintes venaient d’être confirmées. « Oh non, pas ça! pensa-t-elle. Moi qui croyais que tout se ferait… à la main. » L’instrument semblait aussi réel qu’un véritable pénis en érection, légèrement courbé vers le haut et prêt à passer à l’action. Une hampe couleur chair arborant des veines en ...