Katherine 9
Datte: 24/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... comme jamais. Le plaisir me faisait bouillir de la tête aux pieds, j’avais parfois l’impression de sombrer dans le coma, ma vue se brouillait et les tremblements de plaisir devenaient insupportable. Mais impitoyable, Katherine continuait de me violer, me culbutant violemment m’enfonçant dans le matelas. Elle se déhanchait de gauche à droite, secouant son postérieur comme jamais. Une vague de plaisir, terrible et brûlante me submergea à nouveau, tandis que je la sentis se cambrer et se raidir elle aussi. Elle bondit sur mon sexe de haut en bas, très sauvagement faisant ployer le lit jusqu’aux lattes tout en me donnant une gifle. L’effet fut immédiat : j’explosai dans un nouvel orgasme qui me laissa étourdi et sonné, submergé par l’extase. Katherine eut un orgasme elle aussi, et fut un instant prise de frissons incontrôlables, courbée au-dessus de moi, le visage merveilleusement déformé par le plaisir. Elle s’écroula sur moi, ivre de plaisir. « Oh la vache, c’était géant ! Souffla-t-elle. » « Oui, parvins-je à articuler, c’était énorme. » « J’en veux encore ! Cria-t-elle. » « Quoi ? » « J’ai dit encore ! » Elle me griffa le torse et me mordit le menton. Bordel cette fille était folle. Mais elle m’excitait tellement, que je me remis à bander aussitôt, ce qui lui tira un sourire satisfait. Je voulus néanmoins reprendre le dessus, par pur orgueil, mais elle me colla une gifle bien sentie, et me tenant par le cou, me plaqua contre le matelas. Elle avait toujours cet air déterminé ...
... et sauvage, deux orgasmes ne l’avaient visiblement pas calmée. Je savais bien qu’en me révoltant, je ne ferais qu’aggraver sa sauvagerie, mais je ne pus m’empêcher de vouloir la provoquer et la pousser dans ses limites. Je lui claquai donc ses fesses bien fermes avec vigueur, lui arrachant un petit cri de surprise, puis, je tenais de la renverser. En réaction, elle me donna un puissant coup de rein, de droite à gauche qui me fit crier, et me paralysa sur place. Elle se pencha sur moi, et me dit d’un air autoritaire : « Tu te révoltes pas, tu es à moi, tu es mon jouet. » En guise de réponse, je lui donnai un puissant coup de rein par en-dessous qui la fit sauter légèrement, et pousser un cri de plaisir. Je lui souris d’un air provocant : « Je suis pas ton jouet, je le serai jamais. » « Ah oui ? » « Oui ! » J’appuyai mon défi avec un autre coup de rein, qui la fit fermer les yeux sous le plaisir que je provoquai. Je voulus lui en donner un autre, mais elle ne m’en laissa pas le temps. Elle se remit à me baiser, allant directement sur un tempo très élevé, me baisant si bien que je fus tout simplement incapable de bouger. Elle en revanche se démenait sur moi comme une diablesse. Elle allait d’avant en arrière, mettant toute sa force et sa sauvagerie dans chaque aller-retour, comme si elle voulait me faire jouir à chaque coup. Quand elle voulait changer, elle se mettait à bondir sur ma queue, contractant ses muscles vaginaux, enserrant mon sexe délicieusement, mettant en désordre ...