Katherine 9
Datte: 24/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sa belle chevelure, et secouant sa volumineuse poitrine. Parfois aussi, elle se déhanchait comme une danseuse orientale, secouant son corps de déesse dans une danse effrénée, gémissant à pleine voix. J’avais voulu une Katherine le plus sauvage possible, j’étais servi. A chaque fois, elle me baisait si bien que je croyais mourir de plaisir tant c’était bon, vibrant de la tête aux pieds, chacun de mes atomes explosant sous l’extase, criant éperdument. Et elle me faisait ça encore et encore, et encore, j’en devenais complètement fou, le plaisir était trop intense, trop fort, trop long, j’avais l’impression que je ne pourrais pas y survivre, mais en même temps je sentais aussi que si elle s’arrêtait avant l’orgasme final, je ne pourrais pas le supporter. J’étais emporté par un torrent de plaisir qui s’aggravait à chacun de ses mouvements. Elle aussi semblait devenir folle à force de plaisir, elle criait, gémissait, était prise de tremblements, me griffait le torse, me giflait ou frappait le matelas, comme si elle était en proie à quelque chose de trop délicieux pour elle. Quand on se regardait dans les yeux, je voyais son regard incendiaire, presque fou, dans lequel on pouvait y lire un mélange de plaisir, de sauvagerie, d’excitation et de détermination. Car malgré l’intense plaisir qu’elle éprouvait, jamais elle ne flanchait, jamais elle ne ralentissait le rythme, au contraire, elle ne faisait que l’accélérer, encore et encore et encore. Le lit grinçait sous ses coups de ...
... butoir, la chambre raisonnait de nos cris éperdus, et ses hanches venaient me culbuter encore et encore déclenchant chez moi des tourbillons, me faisant décoller bien au-delà du septième ciel. Arriva un moment, où je sentis mon plaisir atteindre un degré tel que je compris que c’était la fin : soit je jouissais dans les plus brefs délais, soit j’allais m’évanouir tant c’était bon. Katherine eut un frémissement terrible, et je compris qu’elle était dans le même état que moi. Nous nous regardâmes dans les yeux, et nous comprîmes que nous allions vivre son dernier assaut, le dernier acte de cette baise inhumaine. Elle rassembla ses forces, et entama le sprint final. Elle me fit la totale. Elle commença par aller et venir d’avant en arrière me culbutant plus vigoureusement que jamais, ses hanches percutant les miennes avec violence. Puis elle se mit à se déhancher de gauche à droite, si rapidement qu’elle m’entraînait avec elle, tout en plantant ses ongles dans mes pectoraux. Elle avait amené notre plaisir à tous les deux à un point très élevé, jamais je n’en avais éprouvé autant. Il ne lui restait plus qu’à nous donner le coup de grâce, à nous libérer tous les deux. Elle bondit de haut en bas, me culbutant si fort, que, en m’enfonçant dans le matelas, je sentis une latte casser sous la violence de sa baise. Elle s’en foutait, et continua encore et encore à me malmener ainsi gémissant à fond tout comme moi qui criait tout en étant hors d’haleine. Je vibrais comme jamais, le plaisir ...