La peinture à l'huile...
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
inconnu,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
nopéné,
jeu,
Un brocanteur se fait bizuter par quatre collègues lors d’un marché, en guise de souhait de bienvenue dans la grande famille. Pour les remercier, il les invite à partager un repas et à raconter leurs aventures érotiques respectives. Après avoir rangé les stands et fermé nos camionnettes, nous nous sommes retrouvés au bistrot de la place, devant une monumentale choucroute. Le temps de trinquer et de partager nos nombreux soucis de brocanteurs, nous sommes revenus à notre point de départ : l’évocation de nos aventures érotiques les plus marquantes. La femme qui avait si bien joué son rôle de séductrice à mon stand eut l’honneur de commencer. — À toi, Maria, avoue-nous tout sur tes secrets intimes, persifla Denis, le type qui lisait mes livres érotiques avec attention au stand.— Ne te moque pas de moi, espèce de vaurien, j’ai été belle et désirable ! Même si ? aujourd’hui, je ressemble plus à mes meubles qu’à tes fragiles porcelaines… Un jour tu seras comme moi, et c’est pas sûr que tu auras d’aussi beaux restes !— Mais nous n’en doutons pas, ravissante madone des brocantes ! De toute façon, tu as toujours de solides arguments à faire valoir, confirma Sébastien, le plus jeune de la bande, avec un geste explicite des deux mains.— Allez, arrêtez de la charrier ! Moi, en tout cas, je te trouve très bandante quand tu joues les séductrices avec Denis, les tétons raidis, dis-je pour calmer le jeu.— C’est qu’il est galant, le nouveau. Prenez-en de la graine… Malheureusement, pour ...
... l’histoire vous allez être déçus, elle est plus triste qu’excitante. Mais bon, vous l’aurez voulu… … C’était il y a quelques années, à l’occasion du débarras de la maison d’un peintre. L’âge venu, il avait renoncé à y demeurer. D’autant plus que sa femme était morte et qu’il ne supportait pas de vivre où s’étaient accumulés tant de souvenirs. Il avait déménagé l’essentiel de ses affaires dans un petit appartement de la région, laissant quelques meubles à reprendre. J’en avais fait l’estimation alors que tout était encore en place. Au moment où j’entre, le monsieur me tourne le dos, assis sur un tabouret au milieu d’une grande pièce baignée d’une lumière douce, très particulière. Il se retourne, et je m’aperçois que son visage est inondé de larmes. Moi, déjà que les maisons vides me donnent le cafard, si en plus le propriétaire est là quand je viens prendre les meubles, et qu’il se laisse aller, ça me coupe tous mes moyens. Normalement, je demande d’ailleurs à être seule, sauf si les meubles sont trop lourds. Je commence tranquillement le débarras par un tour de la maison, pour apprivoiser les lieux. Je prends le temps de passer dans toutes les pièces, en imaginant comment les gens vivaient, à quoi ils ont bien pu utiliser les objets que je vais emporter… Je me fais tout un cinéma, mais bon, c’est ma manière d’exorciser. On a un sale boulot parfois, à arracher les objets personnels de la vie des gens. Et là, j’étais piégée. Un peu empruntée, je m’approche du bonhomme et pose la ...