La peinture à l'huile...
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
inconnu,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
nopéné,
jeu,
... pictural… — Et voilà, au travail, maintenant ! Où voulez-vous le modèle ?— Ici, c’est la plus belle lumière…— Et je me tiens comment ? Debout, assise, allongée ?— Comme vous vous sentez le plus à l’aise, on en changera s’il le faut. Apparemment, il reprend du poil de la bête. Ça ne me déplaît pas de me laisser aller sous ses yeux. Je file chercher une couverture dans ma camionnette et m’allonge à même le sol, façon odalisque de Manet. Et là, je vous jure que je n’ai jamais eu le sentiment d’être autant désirée de ma vie. C’était sublime ! Il commence par quelques traits de crayon. Puis s’arrête et vient s’agenouiller vers moi. Il ouvre ma blouse en prenant tout son temps pour découvrir ma peau centimètre après centimètre. C’est délicieux d’être admirée par un homme sans impatience. Je le laisse faire, ses mains sont chaudes et douces, j’ai envie d’elles sur ma peau, vous ne pouvez pas imaginer à quel point. Il me frôle du bout des doigts, comme pour prendre mes formes en lui, puis retourne à son dessin. J’en profite pour dégrafer mon soutien-gorge et offrir mes seins à ses regards. Je commence sérieusement à mouiller pour ce type, malgré son âge, malgré sa fatigue. Il mélange ce que j’avais trouvé de couleurs. Peu à peu, un sourire apparaît sur son visage. Timide d’abord, puis de plus en plus lumineux. L’exercice commence à l’amuser, le défi est à sa hauteur. Il revient plusieurs fois vers moi, ses mains de plus en plus caressantes. Comme s’il voulait modeler mes formes à ...
... l’image de ce qu’il est en train de peindre. De modèle, je deviens sculpture vivante. Mon ventre crie famine, j’ai envie de plus que ces quelques attouchements. Je lui prends la main et la pose sur la ceinture de mon pantalon. Il l’ouvre et finit de me déshabiller. Puis il se redresse et me contemple longuement de haut. Aucun doute qu’il commence à me désirer au-dedans de lui, mais il en faut encore plus pour qu’il ose se l’avouer… Je me sens bien, j’ai complètement oublié la raison de ma présence dans cet atelier. Le temps passe sans que je m’en aperçoive. Il me caresse de ses regards, me frôle de ses mains, n’interrompt son travail que pour mieux mettre mon corps en lumière, tout en profitant de ma passivité pour me regarder en détail. Après de longs moments à s’affairer avec fébrilité sur son œuvre, il s’apaise enfin. Son regard passe encore plusieurs fois du modèle à l’œuvre, et de l’œuvre au modèle. Il semble satisfait. Je le sens libéré. Il n’en est que plus séduisant. J’ai envie de m’ouvrir complètement. Il pourrait désirer n’importe quoi, je le lui offrirais avant qu’il ne l’exprime. J’ai envie de ce diable d’homme, qui me cerne de son admiration, tout simplement. Finalement, sans dire un mot, il vient s’allonger contre moi, en me contemplant avec tendresse. Puis il pose sa tête sur mon ventre et ferme les yeux. Je craque, j’ai envie qu’il me touche, qu’il me tâte, me caresse, m’embrasse partout. Il se contente de s’abandonner et de jouer avec les pointes de mes seins du ...