1. Au feu !


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fh, jeunes, uniforme, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio,

    ... éclairs appuyé d’un « T’es trop con ! » finit de le convaincre de me suivre. Ce fût la propriétaire des lieux qui nous ouvrit : — Entrez ! Entrez ! dit-t-elle. Les enfants, c’est les pompiers, cria-t-elle à l’intention de sa famille.— Merci Madame, répondit mon ami, mais nous ne voudrions pas vous déranger.— Vous nous dérangez pas, reprit-elle. Et puis, après ce que vous avez fait pour nous… Vous prendrez bien un peu de café. Difficile de refuser. De plus, je n’avais toujours pas vu Amandine donc je trouvais là un bon prétexte pour rester un peu. — Un petit alors, m’empressais-je de répondre. La famille arriva au complet et s’installa autour de la table avec nous. Enfin, presque au complet, Amandine manquait à l’appel. D’ailleurs, sa grand-mère demanda : — Mais où est Amandine ?— Dans sa chambre, répondit sa mère, elle s’habille avant de descendre. Nous avions attaqué le café en reparlant de l’incendie de la veille quand la porte de la pièce s’ouvrit. À ce moment-là, le temps s’est arrêté. Elle se tenait là, dans l’encadrement de la porte tel une reine, de beauté bien sûr, devant ses sujets. Elle était tout simplement magnifique. Les cheveux tirés en arrière et ramassés en un chignon laissaient tomber malgré tout une mèche du haut de son front pour aller effleurer sa joue droite. Elle portait une paire de lunettes fine et discrète sur le bout du nez, qu’elle avait fort joli d’ailleurs, et était vêtue d’un cache-cœur noir qui laissait entrevoir la naissance de ses seins, ...
    ... ainsi que d’un pantalon de toile blanc à moitié transparent qui laissait apparaître la marque d’un string. Elle vint s’asseoir à ma gauche, la dernière place, à côté de la porte. Je n’arrivais pas à détacher mon regard d’elle lorsque que mon ami me donna un coup de pied dans le mollet. — Pardon ? dis-je en me retournant vers lui ?— On t’a posé une question.— Oh excusez-moi… Euh… vous disiez ?— Je demandai pourquoi vous étiez là, me répondit la mère d’Amandine.— Ben… Pour l’incendie. Fallait bien l’éteindre. Et à ce moment-là, tout le monde y compris mon ami et Amandine, éclata de rire. — ben quoi ? demandais-je— En fait, je parlais d’aujourd’hui, me dit la mère d’Amandine avec un sourire complice. Ou peut-être moqueur.— Ah ! D’accord. On est venu pour les calendriers.— Alors on va vous en prendre, me dit la maîtresse de maison. Vous m’en mettrez un pour moi et un pour Amandine.— Je vais en prendre un aussi, me demanda la grand-mère d’Amandine.— Y’a de l’argent sur le buffet, Amandine. J’avais préparé l’autre jour. Donne-le aux pompiers. Allez avec elle jeune homme, elle va vous le donner. Et me voilà dans la salle à manger, seul avec Amandine. Dès lors, tout s’accéléra. Elle me donna l’argent que je mis dans ma poche. Quand je ressortis ma main, j’entendis quelque chose tomber au sol. Merde le string ! Je me penchai rapidement pour le rattraper et me relevai. Mon visage se retrouva alors à moins de 20 cm de celui de ma muse et mon regard plongea dans le sien. Elle me sourit et je ...
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