1. Au feu !


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fh, jeunes, uniforme, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio,

    Au feu ! Tibidibidip ! Tibidibidip ! Je repousse violemment la couette chaude tout en attrapant mon bip. J’essaye de déchiffrer la nature de l’intervention. Il me faut deux ou trois secondes pour comprendre les inscriptions : « Feu d’origine électrique ». Il n’y a pas une seconde à perdre. J’enfile mon pantalon en même temps que mes Rangers, passe mon pull-over et j’accroche mon bip à ma ceinture. Je descends, j’attrape au passage les clés de ma voiture, je monte dedans et je démarre en trombe sans oublier de mettre les warnings. Après quatre minutes de route, j’arrive au Centre d’Intervention et de Secours (CIS). Il n’y a pas de lumière. Je suis visiblement le premier. J’entre, je mets mon cuir qui était resté dans mon casier et je prends mon casque et mes gants. Je me dirige vers le « Stass », pièce ainsi surnommée car c’est ici que reste le stationnaire durant une intervention avec, à sa disposition, le PC, le téléphone, la radio… J’attrape l’ordre de mission, lis les détails de l’intervention et l’adresse que je tente de localiser sur la carte murale, ce que je fais sans trop de difficulté car nous sommes intervenus dans le même quartier dans la semaine. Pendant ce temps, quelques-uns de mes camarades font leur entrée, parfois fracassante étant donné le stress de l’intervention. L’un d’eux me lance : — On est combien ? Je lève les yeux sur le tableau et après une rapide lecture : — Huit !— T’as lancé un général ?— J’suis en train de le faire ! Merde ! J’avais ...
    ... complètement oublié de vérifier les effectifs. Etant donné qu’on décale à huit en FPT, il manque au moins un stass. Je lance donc un appel général via le PC et je cours en direction du camion. J’enlève le coupe-circuit des batteries, monte au volant et démarre. Pendant ce temps, un homme a ouvert la porte du garage. Je tire sur le moteur pour le faire chauffer. Enfin, je libère les freins, j’avance le camion et l’arrête à la limite de la route. J’actionne les gyrophares et descends. À ce moment, le chef de garde arrive sirène hurlante et gyros actionnés. Il s’arrête devant le camion et me demande l’adresse. Je la lui donne et il repart aussitôt laissant au chef d’agrès le soin d’organiser son véhicule. Tout le monde est là. Il y a même trop de monde car l’appel général a rameuté une bonne partie des pompiers du CIS. Certains repartiront aussitôt arrivés, constatant que les effectifs sont suffisants, même en cas de demande de renfort, d’autres attendront le premier bilan radio du chef de garde pour savoir s’ils ont des chances de partir, d’autres encore attendront le retour de tous les véhicules, histoire de connaître le dénouement de l’intervention. Bref, chacun fera un peu comme il veut car nous sommes tous volontaires et nous ne sommes donc contraints à aucune intervention. Le chef d’agrès répartit les postes. Cette nuit, je serai chauffeur. À moi la gestion du fourgon incendie tout au long de l’intervention. Ça me va très bien car j’éviterais ainsi de trop me salir et donc de devoir ...
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