1. Au feu !


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fh, jeunes, uniforme, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio,

    ... derrière moi pendant que je ferme la porte. Lorsque je me retourne, je manque de tomber à la renverse. Elle se tient là, un splendide sourire accroché aux lèvres, toute de blanc vêtue. Elle porte un bustier et une courte veste à manche longue qui laisse apparaître son charmant ventre. En bas, elle porte une longue robe et le tableau se termine par une paire de bottes, blanche également. Je suis muet d’admiration. — Ça te plait ? Euh… On peut se tutoyer ?— Oui… Tu es vraiment très belle.— C’est mieux qu’hier ?— Euh… C’est différent… Mais tout aussi sympathique.— Tu me fais visiter ? me demande Amandine en me désignant du bout du nez le CIS.— Si tu veux. Nous entrons et au moment où je referme la porte, le télex s’affole tandis que l’alarme se déclenche. — Merde !— Qu’est-ce qui se passe ?— Il y a une inter, dis-je en lisant l’ordre de mission qui annonce un relevage de personne. On s’en va avant que tout le monde rapplique.— T’y vas pas ?— Non. Le mec qui était avec moi cet aprèm me remplace pour la nuit. On y va ?— OK, je te suis. Une fois arrivé chez moi, je me gare et m’empresse de descendre pour aller lui ouvrir la porte. En montant l’escalier j’ai du mal à détacher mon regard de ses jambes moulées par sa longue robe. Elle l’a probablement remarqué mais a la délicatesse de ne rien dire. Nous rentrons dans l’appart et je lui propose de se mettre à l’aise et de me donner sa veste. N’ayant pas de porte manteau, je la dépose sur mon lit. Quand je reviens dans le salon, elle ...
    ... s’est lancée dans un recensement de mes disques. — Mets ce que tu veux, lui dis-je.— Je crois que ce qui est dans le lecteur fera l’affaire. C’est du jazz calme, excellent comme musique de fond. Le repas se déroule sans problème. Je suis un peu troublé de dîner face à une telle beauté. J’essaie de ne rien laisser paraître mais je crois qu’elle s’en est rendue compte. Le repas terminé, nous nous installons au salon. Le disque est terminé. Je lui propose d’en mettre un autre quand mon téléphone sonne. Je m’excuse et vais répondre. C’est ma mère qui me demande chez qui les pompiers sont allés. C’était dans son quartier mais elle ne sait pas chez qui exactement. C’est le drame : les pompiers sont dans le quartier et on peut même pas dire aux copines qui est parti avec les pompiers. Vous vous rendez compte ? Je me dépêche de prendre congé et retourne voir Amandine. Elle a mis un disque de slows qui sert généralement lors de nos soirées entre amis, histoire de danser un peu. Nous continuons de discuter ce qui me permets d’apprendre qu’elle est seule, qu’elle en a marre des aventures d’un soir, qu’elle cherche quelqu’un avec construire quelque chose de solide, etc. La discussion continue sur des sujets divers et variés lorsque un nouveau morceau démarre. — C’est ma chanson préférée, me dit-elle. « TILT !» Je m’agenouille devant elle, lui prend la main et lui demande : — Vous dansez, Mademoiselle ?— Avec plaisir. C’est ainsi que je me retrouve, enfin, dans ses bras qui s’enroulent ...
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