ON / OFF
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
fantastiq,
... coup, il est un peu déçu. Parvenu au huitième et dernier étage, les portes s’ouvrent et une lumière aveuglante envahit la petite cabine. Isabelle se dirige vers un comptoir derrière lequel une jeune fille blonde – et charmante – s’affaire. Après un bref coup d’œil, celle-ci lui dit assez brutalement, « Allez-y ». Franck est un peu déconcerté. Mais chaque chose en son temps, pense-t-il. Isabelle ne prête pas attention à la dureté de la blonde et se dirige vers une double porte qu’elle ouvre avec sa carte magnétique. Un assez long couloir parcouru de portes, toutes numérotées. Direction : la porte numéro 9. Re-carte magnétique, et là… toute l’ambiance change complètement. Ils sont dans un vestibule lambrissé. Isabelle dépose ses affaires, accroche son pardessus au petit porte-manteau et enlève ses chaussures qu’elle fait valdinguer. — Déchausse-toi ! N’en étant plus à une curiosité près, il s’exécute. Ils passent ensuite dans un salon terriblement luxueux. Une pièce de plus de dix mètres de côté. Un parquet chaleureux, recouvert de quelques tapis épais. Deux canapés et deux causeuses sont installés au milieu de la pièce autour d’une table basse. Une gigantesque bibliothèque occupe totalement deux pans de mur. Franck a toujours aimé ces ambiances feutrées, ces lumières tamisées. Isabelle sort une bouteille de Chardonnay d’un frigo intégré à la bibliothèque, elle l’ouvre rapidement avec une de ces espèces d’ouvre-bouteille ultra moderne qui ne demandent aucun effort… et verse le ...
... vin frais dans deux verres. Elle se dirige ensuite vers un des canapés. Elle lui fait signe de s’asseoir en face d’elle et lui tend un verre. Elle se love dans le fauteuil plutôt qu’elle ne s’assoit, elle replie ses jambes à ses côtés. Elle boit une petite gorgée, fait rouler le vin dans sa bouche, l’avale sans vraiment y penser. — Il y a quelques années, je suis tombée malade. Pas grand-chose : un refroidissement, mais qui n’en finissait pas. Sur les bons conseils de ma logeuse, j’ai été consulter un médecin dans le quartier. C’était une femme d’une cinquantaine d’années. Nadine Rouchard. Quelle femme ! Elle m’a tout de suite plu. Tout d’abord, les questions habituelles sur la santé, « Comment as-tu pris froid ? », « Manges-tu correctement ? », bref, le genre de questions qu’un médecin pose à son patient, tu vois ? Ensuite, elle m’a examinée. La gorge, les ganglions, les oreilles. Elle a pris ma tension. Pendant ce temps, je n’arrêtais pas de penser à mon ex-petit ami. François. Il venait de rompre, et ça m’avait foutu un choc… « Ce n’est pas grand chose, ma grande », m’a-t-elle dit, me sortant de mes pensées. « Un simple rhume. Par contre, j’ai l’impression que tu ne me dis pas tout ! Qui est ce François ? » J’étais consternée. Elle ne m’a pas trop laissé le temps de répondre, parce qu’elle a compris que je ne savais pas de quoi elle parlait. « Tu as le don extraordinaire d’hypnotisme commanditaire, c’est-à-dire que tu peux commander les gens uniquement par la pensée. Moi, ...