Réservation d'une suite royale
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
sm,
attache,
yeuxbandés,
... j’aime ça encore, oh la vache t’es la meilleure, tu me l’avais bien dit. Ouiii encore encore. C’est tout en douceur que Marie-Claude amène Jean à un orgasme puissant qui le surprend et lui fait donner des coups de reins démentiels qui désarçonnent Marie-Claude. Elle tombe sur le côté et Jean en profite. D’un coup de rein puissant, il se retrouve sur Marie-Claude et l’enfile sans coup férir. Marie-Claude subit les violents coups de reins de cet étalon surprenant. — Oui putain continue, ta queue me défonce comme ja… jamais, ouiiii, encore vas-y ma chatte en a envie, huit jours qu’elle a rien eu. Ooohhhh ouiiiiiii encore, encore.— T’inquiète pas ma belle, dans une heure tu crieras grâce, j’ai pas l’air… mais… je peux te… baiser toute… la nuit comme c… cela. Et dans les cinq minutes qui suivent, il jouit encore une fois et continue ses coups de reins comme si rien n’avait eu lieu. Marie-Claude sent monter en elle des plaisirs violents et un premier orgasme la prend en pleine chevauchée. — Ahhh ouiiii je… je… veux enco… encore jouir… enc… encore ouiii Ahhhh ! ! ! Elle essaye de suivre le rythme imposé par Jean mais elle ne peut pas. Le timide gérant s’est transformé en un puissant bulldozer, un étalon de première classe. Son vagin est ouvert, écartelé par le sexe de Jean qui ne débande pas. Un troisième orgasme le fait se tendre comme un arc et il s’enfonce dans Marie-Claude au plus profond de sa matrice. Il touche le fond et la défonce encore et encore. Il ne s’arrête que ...
... longtemps après. Marie-Claude a joui quatre, cinq, six fois, elle ne sait plus. Elle a été écartelée, perforée, jamais elle n’a été défoncée comme cela. C’est géant mais fatiguant. Ouh là là, dur. Elle a du mal à rependre son souffle, ouiiii même Christian, ce bon vieux Christian, ne l’a jamais possédée comme cela. Les deux amants se reposent côte à côte et Marie-Claude s’endort. Elle n’entend pas Jean se lever, prendre une douche et sortir en fermant la porte à clé. Il la tient pour le moment et ne veut pas la perdre trop vite. Elle veut la suite pour 30 balles, ça vaut bien deux ou trois jours de baise après tout. Il est content. Une bonne baiseuse rien que pour lui. Il lui montera à manger dans quelques heures, quand il aura repris des forces. Il redescend au boulot en sifflotant. Deux heures après, Marie-Claude se réveille toute courbatue. Elle a l’impression qu’un régiment de zouaves lui est passé dessus. Elle passe sa main sur sa chatte endolorie et elle sursaute un petit coup. Elle est un peu irritée, bon, mais rien de grave, elle en a vu d’autres. Elle entend la clé dans la serrure et elle se cache sous la couverture. Si c’était la femme de ménage ? — Alors encore au lit ma belle, tu dors ? Ce n’est que Jean, ouf. — Non non, je viens juste de me réveiller après cette chevauchée fantastique ! ! Tu es un drôle d’oiseau dis donc. Tu fais le timide, mais quand tu te lâches, plus rien ne t’arrête.— Ouais, t’as raison mais tu n’as pas encore tout vu.— Ah bon, c’est pas fini, dit ...