Justine, Jérôme, Rex et la famille. (9)
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch9. Jeux entre cousins. À cause de nos pirouettes de la veille, nous nous étions tous levés tard. La partie de cul entre mon cousin et moi avait ressemblé à une joute ; le but était d’immobiliser l’adversaire afin de soit se faire sucer la bite, soit d’enculer l’adversaire. Tous les coups et prises étaient permis ; nous nous étions bien amusés malgré les quelques douleurs rectales et génitales. Dès le lever, l’ambiance était joyeuse et taquine ; nous petit-déjeunions entre mecs, les filles mobilisaient la salle de bain pour une séance d’épilation. Enfin les deux filles apparurent, toutes deux revêtues une mini-jupe noire, moulante à souhait. Sous leur chemisier blanc se dessinait un soutien-gorge noir à dentelles ; quel spectacle ! Charly et moi fûmes à la fois surpris et enchantés par cette belle apparition inattendue. Justine nous proposa de les accompagner faire du shopping dans la ville voisine, distante d’une dizaine de kilomètres, le trajet se faisant en bus. En un éclair nous fûmes douchés, parfumés et habillés. Short, chemisette et claquettes étaient la tenue parfaite en ce jour d’été. En chemin Justine nous dit : — Dites, ça ne vous dirait pas de vous amuser un peu ? Moi, j’ai envie de jouer les amoureuses. — Ah oui... Et comment tu comptes faire ça ? répondit Charly. — Eh bien voilà : je voudrais faire comme si j’étais en couple avec toi, Doudou ; et vous deux, vous feriez la même chose. — Oui... ça n’a rien d’extraordinaire, ...
... ton idée, reprit Colombe. — Si, justement : on va se comporter comme de vrais amoureux en se tenant par la main, avec les bisous et tout le reste, vous comprenez ? — Justine, si j’ai envie de te rouler une pelle, je peux ? demanda Charly. — Non seulement tu peux, mais tu dois le faire. Et toi, Coco, ça te va ? — Bah, c’est à dire que... en public, c’est pas évident. Bon, je verrai, reprit Colombe, un peu gênée. Je trouvai cette idée géniale, mais je sentais qu’il faudrait y aller doucement avec ma cousine. Dans le bus, je lui pris la main. Elle se laissa faire sans rien dire ; son regard était doux et tendre. Nous parlions du jeu : — Tu sais, j’ai un peu la trouille, mais ça m’excite de le faire. J’ai l’impression d’être avec mon amoureux, que je n’ai malheureusement pas : nos parents ne veulent pas en entendre parler. — Hé, dis-moi, ils vivent au moyen-âge tes vieux, ou quoi ? lui demandai-je. Petit à petit j’approchai mes lèvres des siennes et lui fis un baiser furtif. Elle me serra la main, très fort. Arrivés au terminus, nous descendîmes du bus. Elle me reprit la main et, cette fois-ci, c’est elle qui vint chercher le petit baiser. Nous allâmes tous les quatre prendre un rafraîchissement à la terrasse d’un café. Justine et Charly avaient déjà franchi un cap : ils en étaient déjà à la galoche. Assis à côté de ma cousine, j’avais posé ma main sur la peau douce et lisse de sa cuisse et remontais sous sa jupe, mais sa main me stoppa net. Un sourire, un regard ; j’approchai ma ...