Justine, Jérôme, Rex et la famille. (9)
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... bandais. Nous nous sommes allongés sur mon lit. Sa tête dans le creux de mon bras, elle enroula ses jambes autour de ma cuisse ; je sentis sa minette me caresser. Elle sentait bon ce parfum que je connaissais bien : c’était celui de Justine. Nous nous sommes regardés un long moment puis elle roula sur le dos ; je l’accompagnai. Elle posa sa main sur mes fesses et les caressa, puis elle remonta le long de mon dos, ce qui me fit frémir. Elle continua jusqu’à ma nuque, ferma les yeux, ouvrit légèrement la bouche et me força à l’embrasser en me tirant vers elle. Ce jeu de langues et cet échange desalives durèrent longtemps. À bout de souffle, je me mis sur le côté et pris son sein droit dans ma main. Il était rond, doux, régulier. Son téton trônait fièrement, droit, dur ; je le fis rouler délicatement. Elle gémit. C’était de la douceur qu’il lui fallait, je l’avais bien compris. Ma main descendit dans le creux de son ventre, puis sur son mont de Vénus lisse, doux. Elle tenait mon sexe tendu dans sa main et me caressait les boules, la verge, le gland ; mes doigts atteignirent sa minette. J’étais curieux de savoir à quoi pouvait ressembler son antre ; j’y mis un doigt : l’intérieur était humide et chaud. Je changeai de position car une envie irrésistible de goûter sa peau et son jus me tenaillait l’esprit. Ses tétons n’étaient que pur délice ; ils se laissèrent sucer à volonté.deux doigts en elle, elle ondulait en gémissant ; mes lèvres, accrochées à ce téton, le suçaient ...
... avidement. Je fis courir ma langue sur son ventre, puis sur sa minette pour arriver à cet écrin mystérieux ; il était doux. Cette douceur et le goût de son jus me donnaient une envie de plus en plus pressante de la prendre, de l’envoyer au septième ciel, et moi avec. Mais j’avais décidé de la laisser diriger et de lui demander quand elle serait prête. J’enfouis ma bouche entre ses jambes pour aller au plus profond d’elle et goûter à cette minette inconnue tandis qu’elle me caressait la queue ; c’était bon... Je redoublai d’ardeur dans ce cunnilingus. Une chaleur humide envahit mon gland : elle me le suçait ! Comme c’était doux... Mon sexe gonfla encore plus sous les va-et-vient de sa bouche. — Viens ! me dit-elle. Je me retournai, m’allongeai sur elle, mes tétons au contact des siens érigés tel des pics, mon sexe tendu contre son pubis, mes lèvres contre les siennes ; nos langues échangèrent un langoureux baiser. Je me glissai vers le bas et, de mon gland placé à l’entrée de son écrin humide, je la pénétrai en douceur. — Ah ouiii... ! souffla-t-elle. Elle ondulait, et sa respiration changea de rythme alors que j’allais et venais en elle avec des mouvements lents et réguliers. — Oh ouiii... ouiii... Plus vite, plus fort... gémit-elle. C’était le moment. J’augmentai la cadence, plus vite et plus fort ; je la pilonnais. Je savais qu’elle était proche de l’orgasme, et moi aussi. Brutalement, son vagin se contracta ; elle fut secouée de spasmes et s’exprima en criant presque : — Oh, putain ...