1. David, un mari chanceux diront certain (2)


    Datte: 28/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... assez forte. Elle se rassit. — Déguste mon champagne et apprécie-le comme j’apprécie ton apéritif. En fait, devant son autorité, je trouvais le courage de porter le verre à mes lèvres. Je sentis le liquide couler dans ma bouche. Mais au lieu du dégoût, je trouvais cela excitant. Je commençais par avoir un début d’érection. Elle jubilait. — Je vois que mon nectar possède des vertus aphrodisiaques. Elle retira ses chaussures et je m’empressais de terminer mon verre avant de déposer un baiser sur chacun de ses pieds. J’avais déjà pris ce réflexe. — C’est bien, tu apprends vite. Je suis sûre que je peux faire de toi, un bon soumis. Maintenant, passe ta langue sur chaque centimètre carré de mes pieds. Et n’oublie pas de bien nettoyer entre mes orteils. J’ai tant marché aujourd’hui. J’obéissais promptement. Ma langue passait et repassait sur ces pieds. Je retirais la moindre poussière de sa plante et dégustais avidement l’humidité odorante enfouie entre ses délicieux orteils. Mon excitation était à son sommet et je ma queue me faisait mal tant je bandais. Sa respiration haletante me prouvait qu’elle aussi prenait du plaisir. De plus, je vis qu’elle se caressait à travers sa robe. Alors que j’allais avoir fini le soin de ses pieds, elle m’ordonna : — Passe ta tête sous ma robe et occupe-toi de moi ! Je ne me fis pas prier. Ma tête remonta le long de ses jambes et sous l’obscurité de sa robe, ma bouche trouva rapidement sa culotte déjà bien humide. Elle se souleva un peu et j’en ...
    ... profitais pour retirer sa culotte. Ma bouche se plaqua contre sa vulve poisseuse qui exhalait une odeur à la fois musquée et féminine. Ma langue passait alternativement de son puits d’amour à son clitoris. Je dégageais son capuchon et l’aspirais. Je le sentais grossir sous ma douce succion. Ma salive se mêlait à sa jouissance et j’aspirais goulûment tout ce liquide. Je percevais ses ondulations de plaisir à chaque mouvement de ma langue et sa respiration se fit de plus en plus saccadée. Rapidement, elle crispa. Elle bloqua son souffle et ma tête fut coincée entre ses cuisses. Je la sentis se répandre dans ma bouche. Elle ne bougea plus et j’en fis autant, attendant qu’elle me donne un nouvel ordre et ne voulant surtout pas lui gâcher ce moment. Elle se détendit assez rapidement. Alors que ma tête sortait de sous sa robe, elle s’essuyait avec sa culotte et la jeta plus loin. Après quelques minutes, elle se leva et me demanda de lui faire visiter mon appartement. Sur son ordre, je la suivais à quatre pattes. Elle ne gênait pas pour fouiller ici et là. Elle finit par trouver que mon appartement était très grand pour un homme célibataire. Il faut dire que j’avais de très bons revenus. Finalement, elle était assez satisfaite. — Je t’ai laissé quelque chose hier soir. Rends-la-moi. Je cherchais la culotte qu’elle m’avait laissée et lui rendit propre. Elle la porta à son nez et elle la jugea correctement lavée. Elle l’enfila. Elle se tourna vers moi et me dit : — Je pense que tu es ...