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David, un mari chanceux diront certain (2)
Datte: 28/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... prometteur. Tu as une langue agréable et tu sais t’en servir. En plus, tu es obéissant. — Merci Maîtresse Je me suis rendu compte que je venais de la remercier de m’avoir complimenté sur mon obéissance. Je me sentais inférieur, plus bas que tout. Cette femme pouvait tout me demander et moi je ne lui refusais rien. Et j’adorais ça. Plus j’étais sa chose et plus cela m’excitait. iqniuuwa — Je reviendrai demain soir pour dîner. Et je veux retrouver ma culotte propre ! Elle ouvrit la porte et parti sans me dire au revoir. J’étais effaré de cette soirée. Je n’avais jamais imaginé être dominé de la sorte. Mais cela me faisait bander. Bien plus que tous les films que j’avais pu regarder en me masturbant. Je n’avais pas souffert comme la soirée précédente, mais j’avais été humilié et cela me plaisait. Une minute après, je pris en main sa culotte et il ne me fallut pas longtemps pour que jouisse sur celle-ci. Finalement, je m’endormis en pensant à Maîtresse Sophie et à ce qu’elle manigançait pour demain soir. Le lendemain, après le travail, j’achetais une bouteille de champagne que je mis au frais et préparais un repas pour nous deux. Un peu avant 19 h, je me mis nu et à genoux devant la porte. J’attendais. Le temps passait et toujours personne. Je me mis à douter de ce qu’elle m’avait dit la veille. J’étais dans une bulle. Puis je vins à douter d’elle. Qu’elle ne s’intéressait plus à moi. Ou que j’avais dit ou fait quelque chose de mal. Elle n’était pas là et elle me manquait. Son ...
... nectar me manquait. Ses ordres me manquaient. Sa simple présence dans mon appartement me manquait. À 23 heures, je quittais seulement ma position en pleurs. Cette nuit-là fut la plus douloureuse. Je ne dormis pas. Le lendemain, j’étais comme un zombie au travail. Le soir en rentrant chez moi je ne pensais plus qu’à elle. Mais la nuit blanche précédente eut raison de moi et je m’effondrais sur le canapé. À 19 heures, la sonnerie me réveilla. Quand j’ouvris la porte, elle se tenait là. Plus belle et plus désirable que jamais. Elle portait des bottines, un legging qui sculptait fabuleusement ses jambes et un joli chemisier entrouvert qui laissait apercevoir la dentelle de son soutien-gorge. J’étais comme un chien qui retrouve sa maîtresse. Je tombais à ses genoux en pleurant et en implorant : — Je ne pensais pas vous revoir. Une violente claque m’arrêta net. J’en tombais à la renverse. — Tu devras savoir que tu dois m’attendre toujours dans la position que je t’ai ordonnée. Que je vienne ou pas. Tu dois te tenir toujours prêt à m’accueillir et à m’honorer tel que je te l’ai demandé. Maintenant, tu te déshabilles et tu m’embrasses les pieds. Après je te punirais. Je me sentais si heureux de la revoir que je m’exécutais sans attendre. Comme un petit chien, je frétillais quasiment de la queue. Après que j’eus déposé un baiser sur chacune de ses bottines, elle prit un sac qu’elle avait emporté et se dirigea vers le centre la pièce. — Maintenant, mets-toi face au mur et cambre bien le ...