1. Songe d'une nuit d'hiver


    Datte: 01/03/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, plage, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, conte, merveilleu,

    ... jamais, trop de choses sont en jeu. Depuis que tu m’as donné ce rendez-vous, il y a plusieurs mois maintenant, je me suis beaucoup interrogé. Suis-je le bon choix ? Tu sais combien notre différence d’âge m’interroge. Je me suis donc livré à un certain nombre d’examens, pour que la fête, notre fête, ne soit pas gâtée par des suites déplorables. Le toubib est formel, tout fonctionne et même bien. Pas de souci non plus pour la qualité de mes petites graines, si le jardin est fertile, il y aura une belle récolte. Le désir est là, les outils bien entretenus, il ne nous reste plus qu’à semer. Le sable est encore très chaud, l’air vibre encore au contact du sol, la mer est à une température de rêve. Nous ne nous sommes pas encore touchés, même pas par le bout des doigts, profitant de cet instant magique où tout peut encore arriver, où le désir monte, s’enfle, se nourrit de lui-même. Tu souris et tu es grave en même temps. Toute une vie est en train de se décider, de se dessiner. Il ne s’agit pas de se tromper. C’est toi qui, la première, a bougé. Tu t’es levée, et sans rien dire, as enlevé le haut de ton maillot de bain, puis tout aussi simplement as fait glisser le bas en direction de tes chevilles. D’un coup de pied bien ajusté, tu l’as envoyé rejoindre le sac de plage. Dans ton dos, le gros disque rouge du soleil se prépare à prendre son bain de minuit et, crois-moi, ce n’est pas lui qui m’éblouit. Ton corps se détache sur l’horizon, frêle silhouette fine et élancée. Je ne ...
    ... bouge pas, je te dévore des yeux, je me nourris de toi. Ton sourire illumine ton visage. Tes yeux brillent. Plus bas tes jolis seins bougent au rythme de ta respiration, un peu plus rapide que d’habitude. Ils sont toujours aussi beaux, ronds, juste à la taille de mes mains qui aiment tant les empaumer. Tes aréoles sont rétractées, les tétons bien marqués, un peu tendus. Tes mains posées sur tes hanches attirent le regard sur ton ventre légèrement bombé. Je trouve ton nombril « mutin ». Il me fait comme un clin d’œil. Juste une longueur de main en dessous, un long pinceau de poils noirs et drus renvoie le regard plus bas encore. Mademoiselle Punkette comme tu l’appelles, référence à sa coiffure large comme deux doigts, longue d’un majeur, est là. Le long sillon bordé de douces lèvres, charnues, parfaitement glabres, enserre les petites lèvres et le petit bourgeon de chair nacrée si sensible sous son capuchon. Enserrent, mais en laisse voir une partie qui dépasse, comme une draperie rose ornée de brun. Je pense à un écrin précieux, mettant en valeur un bijou très rare. Tes cuisses, bronzées, fermes, donnent à ton corps une douceur et une harmonie symphonique. Tout est à sa place et joue son rôle pour que tu sois un chef-d’œuvre. À mon tour, je me lève et te fais face, me livrant moi aussi à tes yeux. Les années ont laissé des traces de leur passage sur mon estomac, dans mes poils de vieil ours grognon et plus ou moins mal léché, le gris et le blanc l’emportent sur le brun. À mon ...
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