1. Songe d'une nuit d'hiver


    Datte: 01/03/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, plage, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, conte, merveilleu,

    ... ne connaît ni ne reconnaît aucune limite. Celle qui me fait jouir sur ses seins, sur son ventre, parce que dans le préservatif elle ne sentirait pas ma jouissance. Ta bouche a rejoint tes mains. Tes lèvres embrassent mon gland complètement découvert. Ta bouche, ta langue, tes dents dégustent, lèchent, aspirent. Tu me veux jusqu’au fond de ta gorge, « mourir étouffée par ce pieux » arrives-tu à me dire avant de me reprendre. Bientôt nous le savons tous les deux ce sera l’apothéose. Je te sens te raidir, tu gémis, libères ta bouche pour pouvoir crier, tu vas jouir de tout ton corps. Femme fontaine tu arroses le sable, par vagues successives. Les poissons au fond de l’océan ont dû t’entendre lorsque tu m’as crié de te prendre, là, maintenant, de te « défoncer », de ne plus « m’occuper que de mon plaisir » de te « remplir », de te donner tout ce que j’ai, de ne rien garder pour moi, de te faire le plus beau bébé qui soit. J’ai obéi. Je suis venu en toi, tu m’as accueilli dans un râle de bonheur, tes jambes se sont refermées sur mes reins. Tu me serrais tellement fort que je pouvais à peine bouger. En toi de puissantes vagues m’ont massé, serré, sucé. Il ne nous a pas fallu longtemps pour partir pour le septième ciel. Je t’ai inondée de ma semence, mon gland abouché à ton col au fond de ton vagin. Une fois encore la fontaine a coulé. Le temps s’est arrêté. L’océan a mis ses vagues au repos. Plus tard dans le doux clapotis de l’eau qui s’était rapprochée de nous (tiens c’est marée ...
    ... montante !) tu m’as glissé à l’oreille : « Ce sera un garçon, un sacré mec, comme son père. » Nous avons dû dormir un peu. Un fond d’air frais nous a sortis de notre torpeur. Abandonnant la plage, nous sommes repartis dans notre lit commun. En t’endormant, tu m’as dit : « Neptune, on l’appellera Neptune ». Quatre heures du matin. Après notre soirée sur la plage, nous nous sommes profondément endormis. L’un contre l’autre, jambes emmêlées, ma cuisse droite au contact de ton sexe, une de mes mains sur ton sein gauche, l’autre sur ton ventre. Nos corps fatigués vivent la merveilleuse alchimie qui est en train de se produire en toi. C’est sûr, c’est fait, tu abrites au fond de toi une toute petite flamme qui ne doit pas s’éteindre. C’est toi qui as commencé à bouger en premier. Tu dors encore, ton souffle paisible et tiède s’écoule le long de mon bras. Petit à petit je reprends conscience. Sans bouger, surtout ne pas rompre cet instant magique. Je sens contre mon ventre ton dos qui s’appuie. Tendre chaleur, douceur de ta peau, fragilité de ce corps que j’aime tant faire vibrer. Les sensations qui me parviennent dans mon demi-sommeil me ramènent quelques heures en arrière. Je te revois t’offrir sur la plage, j’entends la musique de ton plaisir. Comment ne pas réagir. Là-bas sous les couvertures, Monsieur Kiki se réveille lui aussi. Il enfle, se gonfle, se déplie et cherche une position plus confortable pour exprimer sa joie de vivre. Le sens-tu ? Tu bouges un peu tes fesses, lui ...
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