Une inititation
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
inconnu,
vacances,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
hsodo,
J’avais 18 ans, pour tromper mon ennui en attendant la rentrée universitaire, je partis rejoindre des amis qui campaient aux Saintes Maries de la Mer. En cette fin de saison, la plage était pratiquement déserte. Je me promenais dans les dunes quand je vis ce que je n’aurais pas dû voir. Un homme et une femme, à quelques pas de moi, nus comme au premier jour, tous les deux blonds comme les vins du Rhin, la trentaine bien nourrie mais sportive ; elle était allongée sur le dos, appuyée sur les coudes ; sa position révélait une poitrine abondante, les jambes bien écartées pour faciliter le travail de l’homme qui, la tête plongée entre les cuisses de sa compagnes, lui léchait le sexe. La tête renversée elle fermait les yeux et gémissait doucement. Ses mains glissées sous les fesses, l’homme la soulevait légèrement, sa langue semblait aller chercher très loin sous elle avant de revenir par-devant. J’aurais dû les laisser à leur occupation et partir. Mon excuse ? En ai-je besoin ; j’étais jeune, plutôt mignon mais assez timide ; bref j’étais puceau et, évidemment, assez préoccupé par la question. Je restai donc et plus encore ! je me dissimulai vaguement, je retirai mon short, et commençai à me masturber en les observant. Elle dit quelque chose, il se leva. Il avait du sable sur le ventre et sur les cuisses. Elle parlait allemand. Il se mit à rire. Elle retira le sable d’une main tandis que l’autre lui saisit les couilles. Sa queue m’apparut très grosse. Quand elle la prit dans ...
... sa bouche elle avait les lèvres tendues. Je n’avais jamais vu faire cela. Elle lui avalait entièrement le membre, son nez buttait sur le ventre de son mari. Les mains croisées il appuyait sur sa tête. Elle se dégagea en riant. Ils étaient joyeux. Elle était restée assise dans la même position, les yeux fermés, les jambes ouvertes. Je voyais entièrement la fente de son sexe, sa toison qui, pour être claire, était très fournie, les poils collés par la salive de l’homme et par son propre plaisir. Je laissai mes yeux remonter sur ses seins, sur sa bouche qui avait recommencé d’avaler le membre énorme, sur ses yeux ; et là je ressentis un terrible choc. Ses yeux grands ouverts étaient plantés dans les miens ! J’en ressentis une gêne inexprimable, d’autant que, d’où elle se trouvait, l’activité à laquelle je me livrais ne devait faire aucun doute. J’étais pris en flagrant délit de voyeurisme. Elle ne dit rien et me regarda intensément. Elle continuait de sucer, je voyais ses joues se creuser. Au bout de quelques secondes elle désemboucha le membre et dit quelques mots. L’homme se tourna vers moi. Je cherchais frénétiquement mon short. Puis j’entendis à nouveau son rire et elle prononça distinctement : "viens". Elle s’était écartée de son compagnon qui me regardait avec curiosité en branlottant sa verge. Sa main était descendue sur son ventre; elle se caressait aussi avec douceur. Elle souriait mais son sourire n’avait rien de lubrique. Il me parut plutôt tendre et bienveillant. Je ...