1. Une inititation


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fhh, hbi, inconnu, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation hsodo,

    ... pas sucer un homme, je t’apprendrai ; tu veux bien qu’il t’encule ?— Il est trop gros, il va me faire mal.— Mais non, je le prends bien, moi, il est doux. Il s’était placé derrière moi, je sentis ses mains sur ma taille. Il me souleva légèrement, sa femme accompagnait le mouvement. — Fais-le, ça m’excite. Il m’enduisit de salive, son doigt me pénétrait déjà. Je ne voulais pas, mais je ne contrôlais rien. — Je ne suis pas homo.— Lui non plus. Elle prononça une phrase en allemand. Je sentis son gland appuyer contre mon anus. Quand il entra, je poussais un cri et me laissai aller sur le corps de sa femme. Elle me caressait les cheveux et je dirigeai la bouche sur la pointe d’un de ses seins qui était érigée. Son téton était énorme. Je le suçai frénétiquement. Je sentais la bitte entrer en moi, se frayant doucement un chemin. J’avais mal mais la douleur était supportable. J’étais dégoûté mais cette présence dans mon ventre m’excitait. Je sentis que je m’ouvrais et lui facilitai la pénétration. Je gémissais Il se retira doucement pour revenir profondément. Je le sentais dans mon ventre. Il accéléra le mouvement. J’étais assez lubrifié pour le sentir coulisser. ...
    ... Le choc que je ressentis quand il se retrouva au fond de moi me propulsa dans le ventre de sa femme qui écarta les jambes pour me recevoir aussi loin que possible. À chaque coup de queue, il me projetait en elle. Je sentais qu’il la baisait à travers moi. Il me semblait grossir encore et encore et moi même je grossissais en elle. Elle m’avais repris le visage entre ses deux mains et le tenait fermement. Sa langue cherchait la mienne. Elle prononçait des mots inarticulés. Je sentis qu’elle inondait ma queue et elle se mit à hurler sa jouissance. L’homme accéléra encore et je l’entendis gronder, puis rugir pendant qu’il se libérait dans mon ventre en même temps que je me sentis couler en elle. Il s’effondra sur mon dos, me plaquant sur le corps de sa femme. Nous reprenions notre souffle. Elle avait recommencé à me caresser en murmurant des paroles apaisantes. Il se retira doucement, j’avais honte. Aujourd’hui vingt ans ont passé. Je me suis marié, j’ai des enfants, je suis séparé, je vis tranquillement ma bisexualité. Parfois je me demande si ma vie aurait été différente si, ce jour là dans les dunes, mon chemin n’avait pas croisé le leur. Qu’en pensez-vous ? 
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