1. Moins par moins donne plus (suite)


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, ff, fhh, couple, couplus, vacances, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... autre chose. Alors, un peu plus, un peu moins … Je fais bien attention de ne pas écraser mon amie en enjambant sa tête. Je rampe pour me placer sur elle. Je descends mon bassin, mais des mains me guident. Des mains délicates, féminines. Bien sûr Roxane a compris. Elle a compris et elle accepte. Je ne sais rien de ses expériences avec des femmes. Finalement, nous ne savons pas grand-chose l’une de l’autre. Elle plie ses jambes et mon visage est littéralement guidé vers la pointe de ce triangle. Ma bouche en découvre la chaleur, l’odeur si caractéristique d’une féminité très excitée. Ma langue est un serpent qui ondule et visite chaque recoin, chaque pli humide. C’est une pointe qui pénètre la fente y découvrant la preuve irréfutable d’une longue excitation. Nul doute quelle aussi fasse la même découverte. Après tout nous avons fait jouir nos amants, mais pour l’instant nous n’avons eu droit qu’à des envies, que notre mouille signe de façon odorante. Nos hommes regardent. Que voient-ils, si ce n’est un anneau de cou qui bouge en se frottant à celui d’un ventre ? Que voient-ils, si ce ne sont les anneaux des poignets de Roxane qui marquent l’emplacement sur mes fesses ? Que voient-ils, si ce ne sont mes propres anneaux de poignets disparaître en partie sous les cuisses de Roxane et qui permet d’imaginer ce que font mes mains ? Mais reste l’imagination ! Mais restent les bruits humides des chattes léchées, des fentes baisées par des doigts inquisiteurs, et surtout des ...
    ... feulements que nous laissons échapper de nos bouches actives. Le plaisir est délicat. Particulier. Chacune sait comment caresser l’autre et malgré notre envie d’apporter la jouissance, nous nous retenons de la prodiguer trop vite. Mais elle, comme moi, sommes excitées et chaudes depuis si longtemps de cette soirée érotique que la digue rompt. Que c’est bon de sentir la jouissance venir. Que c’est bon de sentir sa partenaire vibrer. Que c’est bon le grondement des gorges qui se répercute dans nos intimités. Mais le calme après la jouissance est de courte durée. La banquette bouge. Des anneaux dansent devant moi. Certains soulèvent Roxane. D’autres rampent. Mais derrière moi aussi cela bouge. Pire, on me prend les hanches. Mieux je sens un bâton qui se frotte à moi. Le gland, tête chercheuse, ne met pas longtemps pour trouver. Il m’enfile. La glissade est facile, la queue me trouve ouverte et grasse de sécrétions. C’est ce que cherche aussi l’homme en face de moi. C’est Pierre qui vient demander sa part. Ses cuisses se glissent sous Roxane. C’est comme un coin qui la soulève. Je dois me redresser. Le ventre et son anneau sont si près. La queue doit être juste là… Voilà, ma langue la découvre. Juste l’envie d’être cochonne encore un peu plus, sucer mon mari juste avant qu’il ne pénètre mon amie. Roxane doit faire de même avec Ruis, car par moment le bâton m’abandonne pour ne revenir que certainement sucé, léché par la langue de sa femme. Les deux hommes nous baisent. De moins en moins ...
«12...141516...19»