La boulangère et l'étudiant
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
... étais une femme, je te dirais que tu as une main de fée.— C’est simplement la main d’un jeune garçon qui veut vous donner beaucoup de plaisir.— Et je sens que tu vas vite y parvenir.— Tournez-vous sur le ventre, j’ai une petite gâterie à vous faire. Béatrice se tourne sur le ventre et écarte très légèrement ses cuisses. Ses deux globes fessiers sont magnifiquement mis en évidence. D’une main ferme Edouard les caresse, puis il descend lentement vers les zones plus intimes. Elles sont déjà très humides, Edouard est aux anges. Il s’adresse à Béatrice sur un ton un peu coquin : — J’ai envie de te parler et de te dire « tu » pendant que je découvre ton corps.— Oui, mon petit Edouard, fais ce que tu veux, tu peux même m’appeler Béa.— Et avoir des mots coquins avec toi ?— Oui, mais pas vulgaires et quand tu me caresses.— Dis-moi d’abord, ma belle Béa, est-ce que ton minou est souvent aussi humide que maintenant.— Trop rarement, mon petit Edouard chéri. Tu es un amour de m’appeler ma belle Béa. Edouard passe une main sous Béatrice pour se saisir de cette poitrine qui l’a tant fait fantasmer. Avec l’autre main il caresse délicatement ses fesses et son entrecuisse. Chaque fois que sa main effleure son clitoris, tout le corps de Béatrice est saisi de petits frissons : — Tu fais souvent l’amour, ma belle Béa ?— Pas assez, je n’ai plus de compagnon.— Et le plaisir ne te manque pas ?— Si beaucoup.— Tu te caresses quelques fois ?— Pourquoi poses-tu cette question ?— Par ce que je trouve ...
... très excitant quand une femme se caresse.— Et bien, je le fais quelques fois.— Et tu jouis fort ?— Beaucoup moins fort et beaucoup moins longtemps qu’avec un homme.— Ma belle Béa, j’ai envie de mettre mes doigts dans ta grotte d’amour, tu crois qu’elle est prête à les recevoir ?— Tu devrais le sentir, elle est très impatiente. Edouard fait tournoyer lentement ses doigts à l’entrée de la grotte d’amour de sa « belle Béa », puis en fait rentrer très facilement un premier, un deuxième, puis un troisième et enfin le quatrième. Béatrice écarte un peu plus ses cuisses. Elle commence à être dans un état second : — Ma belle Béa, si tu veux que je caresse ton clitoris avec mon pouce, demande le moi, sinon il faudra que tu patientes. J’ai la moitié de ma main bien au chaud dans la partie la plus intime de ton ventre, je peux attendre.— Edouard chéri, tu es un monstre… mais ne me fais pas trop attendre. Edouard commence à masser doucement le bouton d’amour de sa « belle Béa » avec son pouce. Les conséquences sur tout son corps se font sentir rapidement. Son bas-ventre, ses fesses, ses cuisses se contractent de plus en plus fort. Sa grotte d’amour se transforme en fontaine de plaisir et de douceur. Sa respiration se fait plus rapide, mais surtout plus saccadée. D’une petite voix suppliante, elle trouve la force de balbutier : — N’arrête pas, Edouard chéri… surtout n’arrête pas. Puis vient enfin la délivrance tant attendue. Béatrice retient d’abord un premier cri, elle ne veut pas qu’on ...