La boulangère et l'étudiant
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
... soir, mais un amour tendresse où chacun va puiser son propre plaisir dans le plaisir de l’autre. Béatrice sent que le plaisir de son amant va venir, elle veut le précéder de quelques secondes pour qu’il puisse la contempler pendant son orgasme, cet orgasme qu’elle veut lui offrir : — Mon chéri, je suis toute à toi, rejoins-moi vite. A cet instant précis, Edouard sait qu’il peut rejoindre sa « belle Béa », leur plaisir est partagé. Après des moments d’une telle intensité, c’est dur de se lever, mais la boulangerie n’attend pas. Une douchette vite prise, un petit-déjeuner que Béatrice n’a plus le temps de préparer, et il faut déjà descendre. — Béatrice, je vais préparer le café, le beurre et la confiture et nous prendrons notre petit-déjeuner en bas dans la boulangerie.— Mon petit Edouard, si tu veux faire un amour câlin avec moi le matin, il faut faire sonner le réveil une heure plus tôt, sinon il faut que ce soit beaucoup plus vite fait, tout en restant bien fait.— C’est noté, nous agirons en conséquence. Edouard descend le plateau petit-déjeuner. Il connaît bien l’ambiance des marchands de légumes, il va découvrir celle de la boulangerie. Pour accélérer le service, il propose de tenir la caisse. Béatrice accepte avec plaisir, la tâche lui en est grandement facilitée. La matinée se passe très vite, il n’y a aucun temps mort. Edouard est impressionné par le nombre de jeunes et de moins jeunes qui viennent acheter des bonbons et des confiseries de toutes sortes. Béatrice est ...
... toujours souriante, elle connaît tous ses clients. Le nombre de petits potins racontés sur les uns et sur les autres est impressionnant. Edouard est un peu jaloux quand un homme plus âgé qu’elle la baratine un peu trop. C’est vrai que les hommes de vingt à quarante ans sont peu nombreux. Ils sont allés dans les grandes villes industrielles de la vallée du Rhône. L’heure de la fin du service arrive, Béatrice est fatiguée, cela fait six heures qu’elle est debout sans s’asseoir : — Tu peux monter, mon petit Edouard, je fais ma caisse et je te rejoins.— Ce n’est pas la peine, ma belle Béa, c’est déjà fait, j’ai tout inscrit sur cette feuille.— Tu es un amour, avoir un caissier, cela facilite beaucoup la tâche.— Je ne fais pas que la caisse de la belle boulangère, je lui fais aussi l’amour, ne l’oublie pas.— Edouard, arrête de dire des stupidités. Béatrice et Edouard remonte à l’appartement : — Assieds-toi, Edouard, on va prendre un apéritif pour se reposer un petit peu.— Bonne idée, cela nous fera du bien.— Après, nous descendrons jeter tout ce qui ne se conserve pas.— Cela en fait beaucoup ?— Essentiellement la pâtisserie. Le pain, je le fais griller pour en faire des croûtons pour la soupe à l’oignon doux. Béatrice se lève pour chercher le whisky et des glaçons. Elle pose le tout sur la table et s’effondre dans un fauteuil. — Je suis dans cet état par ta faute, Edouard.— Tu as enlevé le diminutif « petit » ?— Oui, parce que je suis fatiguée, je n’ai pas assez dormi cette nuit.— ...