La boulangère et l'étudiant
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
... aussi des choses appréciables. Qui plus est, cette Tatiana avec qui il doit travailler a sensiblement le même âge que lui et aime la marche à pied, que demander de plus. Edouard est un doux rêveur. Il ne lui faut pas longtemps pour que son esprit fasse des digressions. Tatiana, ses cheveux blonds, ses yeux bleus, il ne lui manque que deux grandes nattes et quelques centimètres pour être comme la volleyeuse qu’il avait rencontré il y a trois ans dans un camp de jeunesse en Allemagne de l’Est. À première vue, on lui aurait donné le bon Dieu sans confession, mais à première vue seulement. Elle voulait tout le temps faire l’amour avec lui, mais toujours de la même façon, sur le ventre. Avec elle il n’y avait pas beaucoup de préliminaires, il fallait tout de suite passer aux choses sérieuses. Dès qu’elle était pénétrée, elle se caressait le clitoris, et une dizaine de minutes après elle jouissait, souvent bruyamment. Ensuite elle faisait tout pour qu’Edouard la rejoigne le plus rapidement possible, et c’est là qu’elle savait s’y prendre. Tout son corps musclé se mettait en action, même son sexe savait se resserrer pour que les sensations soient plus fortes. Le plaisir de son amant atteint, elle lui laissait un peu de répit, puis il fallait qu’il recommence. C’était le moment préféré d’Edouard. La deuxième fois, toujours en se caressant sur le ventre, elle se faisait sodomiser. Très lentement au début pour ne pas avoir mal, puis de plus en plus rapidement, presque violemment à la ...
... fin. Elle appréciait tout spécialement que le membre d’Edouard sorte de ses fesses pour y retourner aussitôt pendant que sa main s’affairait avec de plus en plus de vigueur sur son clitoris. Souvent c’est à cette occasion que leur plaisir arrivait en même temps. Mais tout ceci est de l’histoire ancienne et Tatiana n’est pas la jeune volleyeuse insatiable d’Allemagne de l’Est. Puis tout d’un coup, Edouard replonge dans la réalité de son stage et pense à la chef du personnel, Patricia Parson : une anti-femme. Comment peut-on dégager une énergie aussi négative ? Et dire qu’il va passer un quart d’heure avec elle tous les jours. C’est à ses yeux le seul point noir de cette matinée. Enfin il en revient à Béatrice. Elle lui plaît énormément. Il faut qu’il trouve rapidement un moyen de la séduire, sans prendre trop de risques et sans conséquences en cas d’échec : il va loger chez elle cinq semaines. Tout d’un coup, c’est l’inspiration, un léger sourire monte sur ses lèvres, un petit frisson de joie parcourt son corps, il vient de trouver une solution tellement simple et sans effets secondaires. Il va tout bonnement lui offrir un bouquet de fleurs et, quand elle demandera des explications, il lui répondra en toute simplicité qu’il avait envie de faire plaisir à une jolie femme, sans plus. Elle ne pourra pas rester indifférente et la balle sera dans le camp de la belle boulangère. Edouard cherche un fleuriste et achète des fleurs en pot. C’est un cadeau moins violent que des fleurs ...