Découverte du plaisir avec ma mère (7)
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... choix, inéluctablement nous serons séparés. — Oui, mais aujourd’hui il y a des moyens de communication à votre disposition, le seul problème demeure le décalage horaire. Vous devriez en débattre afin de peaufiner des horaires qui ne soient pas trop défavorables à l’un ou à l’autre. Prévient-elle. — Oui je suis d’accord, je vais lui en toucher deux mots dès qu’elle sera disponible. — Qu’est-ce que cela te fait de faire l’amour avec Marie ? Se renseigne-t-elle — Franchement, je la baise volontiers, premièrement parce qu’elle fait tout pour me plaire, ensuite elle te ressemble. Je ne vais pas dire que je souffre le martyre. Quoi qu’il en soit, je ne cesse de vouloir te posséder et me trouver dans tes bras, personne ne pourra te remplacer. Tu es la femme de ma vie. Je ne fais l’amour à Marie que pour t’être agréable et obéir à ta volonté. — Je sais bien mon bébé. Je ne voulais pas la perdre. Lorsque je vous regarde, ma puce est aux anges, heureuse et amoureuse. Alors il n’y a pas de problème, pour l’avenir, laissons faire les choses, on avisera selon ce qui se passera, rétorque-t-elle. On finit par s’endormir. Le lendemain matin, maman me réveille. — Mon chéri, je te ferai encore l’amour, mais Marie ne tardera pas à ouvrir un œil. Je vais aller préparer le petit-déjeuner. Pendant ce temps tu vas te mettre au lit dans sa chambre, afin qu’elle te trouve à ses côtés à son réveil. Je viendrai vous réveiller une fois le petit-déjeuner fait. — D’accord maman, je vais y aller, dis-je, ...
... mais avant je veux t’embrasser, donne-moi tes lèvres mon amour. On s’embrasse, puis maman se retire en murmurant : — Arrêtons ! Sinon on ira trop loin, j’ai déjà la chatte mouillée, on n’a plus le temps, je file, mon chéri. Je me résous à aller dans le lit de Marie. En arrivant dans sa chambre, celle-ci dort toujours. Je me glisse sous la couette, me colle contre le postérieur de Marie et j’attends la venue d’Aurélie. Durant cette attente, Marie remue et se déplace, grogne des mots inaudibles, elle se met sur le ventre et son bras se pose sur ma poitrine. Je ne bouge pas et ne dis rien. Au bout d’une demi-heure j’entends les pas d’Aurélie dans le couloir, elle ouvre la porte de la chambre en criant : — Allez les tourtereaux, debout ! Le petit-déjeuner est prêt. Elle secoue Marie. — Allez ma chérie ! Il est temps de se réveiller ! Marie ouvre un œil vaseux et répond : — Quoi ! Mais quelle heure est-il ? J’ai du mal à faire surface. — Voilà ce que c’est lorsque l’on fait trop l’amour, répond Aurélie, allez debout il est l’heure de se lever. Marie, dans un état second, s’assied au bord du lit. Elle essaye de ranimer ses esprits. J’enfile un pantalon de pyjama, viens de son côté et l’aide à se soulever. Elle me suit comme une somnambule vers la cuisine, dans sa chemisette transparente. Nous accompagnons maman. Nous prenons notre collation sans trop parler, laissant Marie reprendre ses esprits. bjqbuuar — J’ai dormi comme un loir. J’ai du mal à m’éveiller, je ne me souviens même ...