Découverte du plaisir avec ma mère (7) - Histoires de Sexe

Découverte du plaisir avec ma mère (7)

... amoureux, même si cela est contre nature et en dehors de la morale de notre civilisation, je peux le comprendre, d’autant que je ne veux pas me mettre en opposition. Ni prendre des dispositions contre vous deux, ce qui aurait comme résultat la dislocation de la famille. Donc, vous avez ma bénédiction. Ainsi achève-t-elle son discours. Marie demeure, un instant, muette, bouche ouverte, les yeux écarquillés, puis elle bondit subitement de sa chaise, se projette vers maman, la prend dans ses bras, l’embrasse, lui fait des bises partout, en la remerciant de sa compréhension et en confirmant : — Oh ! Maman ! Si tu savais combien je l’aime, Thomas est l’homme de ma vie, je l’aime passionnément, merci maman, merci de nous comprendre. — OK, je vous comprends, mais cela ne sera pas le cas de tous. Alors il faudra que vous suiviez les règles que je vais vous imposer. Vous pouvez vivre votre amour, de la manière qui vous plaira, mais seulement dans la maison, que je sois présente ou pas. Si un hôte se présente dans les lieux vous devrez avoir un comportement de frère et sœur « normaux ». De même lorsque vous serez à l’extérieur, lorsque vous serez en compagnie de tiers, quel que soit l’endroit où vous vous trouviez. Il faut éviter les rumeurs, pour vivre tranquillement vivons cachés affirme le dicton, suivons-le. Suis-je claire ? Demande maman — Oui, très claire confirme Marie — Et toi Thomas, tu ne dis rien ? — Je suis tout à fait d’accord avec ton discours, réponds-je Après cela ...

... Marie reprend des couleurs. Les yeux embués de bonheur elle me regarde et vient me donner un baiser passionné. Le baiser achevé, elle s’exclame : — Merci maman, merci maman je t’aime ! — Moi aussi je vous aime, vous êtes mes amours tous les deux, même si je ne m’attendais pas à tout cela dit-elle en souriant. Nous voilà partis pour la visite parentale annuelle. J’ignore si nous devons cela au fait qu’Aurélie sait pour Marie et moi, qu’elle vient de nous donner son accord, mais l’ambiance demeure des plus décontractées, surtout concernant Marie. Souriante, plaisantant et flirtant avec moi sur la banquette arrière, cela va provoquer la réflexion suivante d’Aurélie : — Ma chérie, calme-toi, tu ne vas pas pouvoir attendre le retour à la maison si tu continues ainsi. — Maman, c’est dur, j’ai tellement attendu ces moments, répond Marie. — Je sais ma chérie, j’imagine ton abstinence volontaire pénible à supporter, mais attends notre retour à la maison pour te donner à Thomas, tempère Aurélie. Il en sera ainsi tout le long du trajet. Nous arrivons enfin, pour l’apéritif. Tout se passe bien, apéro, déjeuner, puis maman et nos tante et oncle se mettent à jouer aux cartes. Marie et moi nous refusons l’offre et optons pour une balade dans la propriété des parents. Marie marche un instant devant moi, sur le sentier. Elle balance ses hanches, allant de l’avant. Puis nous bifurquons vers la remise chauffée de l’oncle. — Chatte mouillée, hein ? Questionné-je, en marchant derrière Marie. Elle ...